Cromimi - Primeiro Jogo de Griação de Animais Virtuais

Coucou :3

Mona > C'est un super poème malgré quelques confusions
Lolo' > J'aime beaucoup ce que tu écris, c'est super
Pour ma défense, j'ai écrit si je reste avant de connaitre le livre. j'ai appris qu'il existé il y a quelques jours car je me suis demandé si... bah tout bêtement si ça existait pas déjà, sinon je l'aurais pris pour mon prochain projet xD et j'ai écris ce texte il y a une ou deux semaines. J'avoue que ça peut vraiment porter à confusion mais de là à carrément avoir aucun doute quant au fait que j'ai pu écrire de la vue de Mia... Donc elle a quelqu'un qu'est dans le coma ?

En fait en scret' c'est un peu mon cas aussi éventuellement. Tu as le droit de trouver le comportement étrange mais pour moi, pas du tout xD Tu vois je me vois bien prendre soin de mon amie comme je le décris car je culpabilise tellement xD

Laptite' > Ah oui ça te fais penser à turlututu ? xDD Tu m'as tuée xD Oui, j'ai vraiment essayé de transmettre le plus de mes craintes quant à sa réactions... c'est réellement un gros putain de dilemme... Merci pour le "frappe à ta porte", je trouvais pas toquer très beau non plus :x

Za3ma > Merci d'avoir lu et de ton avis

Merci à vous, c'est gentil. bye

Dernière modification par Cromaniatittude (Le 23-08-2015 à 19h13)

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Hey petits écrivains !

LPH, en lisant le texte concernant Oslo, j'avais bien l'impression qu'il s'agissait d'une légende étant donné qu'il "crée" sa femme, que sa fille rencontre le fils du soleil etc. En fait, mes doutes, je crois que c'est ce que tu veux que le lecteur ait : je me demande si c'est vrai ou non avec la fille d'Oslo malheureuse qui s'est enfui dans les bois. Je pense qu'il s'agit de la fille à la lueur orange du tout début ! (Surligne, le passage en blanc, c'est au cas où ce serait un spoil...) Toujours aussi curieuse de découvrir la suite!

Natacha, je suis désolée, j'ai dû mal m'exprimer (une fois encore) : je n'ai fait que remarquer une similitude dans le titre et le contexte (juste la présence d'un comateux). Je ne voulais pas t'offenser, t'accuser de plaggiat ou quoi que ce soit! Et pour le comportement que j'ai dit comme étant étrange, je parlais uniquement du fait que le narrateur veuille ouvrir les paupières de son ami(e), pas de tout le texte. Encore désolée pour ce léger quiproquo. Sinon, merci pour ton avis concernant mes écrits ;)

MONA', c'est un joli poème, y'a des bonnes rimes mais je dois t'avouer que ce n'est pas vraiment mon style, et puis il y a certains passages un peu incompréhensibles dans le contexte... ^^'

Héhé je suis contente de vous avoir "mis sur le postérieur"! Je vous laisse donc avec la 5ème lettre de "Lettres à Madame Rose", c'est une lettre de notre soldat écrite avant qu'il n'apprenne la nouvelle, pour rendre la chose encore plus triste, mouhaha. Bon, je vous laisse lire, il n'y a pas de version écrite à la main, j'ai la flemme x), je suis tout aussi impatiente que vous de poster la suite, vos réactions me réjouissent ! ENFIN BRRRRRRRRREF, bonne lecture. :)

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17 Février 1962

A vous, femmes de ma vie,

Avec le temps, je me suis habitué au climat, aux visages qui m’entourent quotidiennement, mais pas à votre absence. Cela fait seulement deux mois que je vous ai quitté, mais j’ai l’impression que je ne vous ai pas vu depuis une éternité. Je me souviens t’avoir dit dans ma première lettre que je te retrouverai partout, dans le chant des oiseaux, dans le parfum des fleurs et parmi les étoiles du ciel ; mais je me suis trompé. Les fleurs se font rares, les oiseaux ne chantent plus et la lumière des étoiles n’égalent pas la beauté de tes yeux. Moi qui espérais y trouver du réconfort, cela ne fait que m’enfoncer dans mon désespoir. J’ignore combien de temps nous aurons à combattre, si nous défendons une bonne cause, si, finalement, je ressortirai vivant de cette bataille. Le regard des Sud-vietnamiens se fait de plus en plus pesant, ce qui alimente mes doutes, mais je ne perds pas courage : je donnerai tout ce que j’ai, et jusqu’à mon dernier souffle, je penserai à  vous. 
Ne perds pas espoir non plus, je crois en toi, j’espère que tu reçois la force que je t’envoie par mes pensées, Rose. Je t’aime comme un fou, comme un soldat, comme le dit la chanson.

Je ne vous oublie pas,
Votre soldat

Dernière modification par Lolobauls (Le 07-08-2015 à 15h06)

Hey p'tits écrivains !

Je passe vraiment à la va vite, désolée...

LPH → Oh mon dieu, t'as raison. Roh lala LA GROSSE ERREUR. C'est un peu honteux là, en plus j'étais plutôt fière de ce clin d'oeil... :')

Emaranthianne → Je suis désolée, je ne vais pas prendre le temps de relever les petites choses dautant plus que LPH a déjà tout dit ! À moi qussi, cette histoire me dit quelque chose, le fait que l'héroïne lise un livre qui raconte sa propre vie, tout ça...

Bon, je repasserai pas avant le 28, sauf s'il y a une connexion là où je pars. D'ici là, portez vous bien. Bonnes vacances à vous !

Dernière modification par Lolobauls (Le 09-08-2015 à 21h09)

Coucou !

Lolobauls, d'accord, d'accord. Ton dernier message, je l'ai trouvé adorable ^^ Je m'excuse aussi ! Cette suite est vraiment horriblement touchante... Nan mais je rêve ou tu t'amuses de nos sentiments ? x)

Emaran', creuse un peu plus tu trouveras une histoire qui n'appartienne qu'à toi, qu'on se dise "BIM, ça c'est de cette fille !" et nan "Ca me dit quelque chose, j'ai déjà vu ça quelque part.". J'ai hâte de voir comment tu vas nous tourner ça, comme les autres gurls !

Mylia, heureuse de ton retour ! :3

Bye

EDIT > J'ai un texte à vous présenter, bonne lecture !

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Quand j'étais petite, elle me chantait des chansons douces. Elle me susurrait à l'oreille des citations chocs, que j'aurais volontiers gardé en mémoire. Elle transcendait mon esprit de ses gâteaux au chocolat, faisait naitre des idées et de l'imagination en moi. Elle installait dans mon regard de petites étincelles, en me contant des histoires d'enfant. Elle faisait rire mes yeux en me massant le cou de ses doigts habiles. Elle portait dans sa voix une douceur angélique. Dans ses yeux, dansait l'affection. Sur son visage, elle ménageait la tendresse et l'amour d'une mère comblée.

            Ma mère fut mon remède, mon réconfort, ma confidente. Mon premier chagrin d'amour fut soulagé par ses mots. L'absence d'un père fut aussi adoucie par ses yeux doux. Nous restâmes deux à la maison longtemps, durant toute mon enfance. Ma mère était ma raison de vivre, mon battement de cœur. Ce fut grâce à elle que j'arrivais jusque là. Je devins médecin à 35 ans. De longues études encore une fois soutenues par elle. Je lui devais mes réussites, je lui devais ma vie.

            Vint alors un tourbillon d'idées contraires dans ma tête. Ma mère ne serait plus en vie très longtemps. J'avais emménagé dans la capitale et ne l'avais plus vue depuis longtemps ; des remords se bousculaient dans mon esprit. Je décidai de retourner la voir. Lorsque je suis rentrée dans l'appartement de ma jeunesse, dans notre cocon à toutes les deux, je l'ai vue assise dans un fauteuil. Elle ne m'avait pas entendu entrer... j'étais venue discrètement. Elle ne m'a pas regardé. Son regard errait sur le plafond depuis quelques minutes sans qu'elle ne s'en rendait compte. Son dos était droit, son dos de danseuse que j'enviais. Ses cheveux grisonnant lui donnait un air de vieille dame, et c'était la réalité des choses: Elle avait pris un coup de vieux. Mon départ y était-il pour quelque chose ? Je ne sus pas la réponse... de toute manière, elle me faisait peur. Je décidai d'un petit congé pour rester auprès d'elle.


            Je pris soin d'elle à plein temps. Elle ne me remarquait pas, mais  cela m'était égal. Je le faisais un peu pour moi aussi, je crois que de cette manière je purgeais ma peine. Elle était capable d'attendre si longtemps avant de bouger ses paupières, si longtemps avant de bouger tout court, qu'elle me faisait même pitié. Je n'ai jamais appelé de médecin, je n'ai jamais songé à la caser en maison de retraite. Alors j'oubliais peu à peu la vie que j'avais eu avant, la bienheureuse ivresse de ma jeunesse. Je laissai la routine guider mes actions. Le téléphone avait dû se casser, ma mère ne m'avait pas dit où étaient rangées ses clés de boîte aux lettres. Nous n'étions plus que deux dans ce monde comme à mes premiers jours. Peut-être que, si j'avais su lui trouver un mari plutôt que de me concentrer sur mes études, elle n'aurait pas fini comme ça. Peut-être que, si j'étais venue de temps en temps lui rendre visite, je n'aurais pas fini comme ça, moi aussi. Si je culpabilisais ? Vous me parlez de culpabilité ? Excusez-moi, je n'ai pas bien compris. Elle a mal joué, moi pareil. Même avec 4 rois, j'ai trouvé le moyen de perdre la partie contre le destin. J'ai peut-être cru qu'il avait 4 as alors j'ai tout arrêté. Ce n'est pas de la culpabilité.

Dernière modification par Cromaniatittude (Le 01-09-2015 à 20h14)

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Hey petits écrivains !

Désolée de ne pas avoir pointé le bout de mon nez plus tôt : j'ai eu des vacances assez compliquées. M'enfin, je suis pas venue pour raconter ma vie et heureusement, ç'aurait été plus qu'ennuyeux.

C'est un plaisir, Mylia' ! Impatiente de voir ton prochain chapitre.

Natacha/Cromania' (comme tu veux, héhé), c'est un texte très touchant. J'ai un penchant pour les textes sentimentaux et psychologiques comme ceux-là... Chaque phrase fut un réel délice à lire, des phrases bien garnies "sans pour autant déborder". Chaque mot a sa place, nan, vraiment, agréable à lire, ce petit texte. Des tas de métaphores... Brrref c'est vraiment bien travaillé et touchant, je n'ai aucun reproche majeur à te faire. J'en redemande !

Concernant "Lettres à Madame Rose", j'ai continué d'y réfléchir pendant mon voyage, sans coucher mes idées : mon ordinateur étant resté chez moi, impossible donc de poursuivre. Ca me fait assez plaisir que tu me dises ça Nat', parce que oui, j'essaie de jongler un peu avec vos sentiments. Ca a peut être un côté méchant ou coquin, mais jouer avec les ressentis fait partie de mes objectifs principaux à remplir avec cet écrit, héhé ! ENFIN BRRREF. Je vous donne la suite. Désolée mais j'ai encore une fois la flemme de mettre l'écriture à la main, de toute façon, c'est pas SI important ! Bonne lecture !

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15 Mars 1962

Mademoiselle Swan,

J’ignore si je dois vous remercier ou vous haïr. Vous haïr pour m’avoir annoncé cette terrible nouvelle ou vous remercier pour cette même raison. Je ne vous cache pas que plusieurs jours ce sont écoulés depuis ma lecture de votre lettre et l’écriture de celle-ci. Je ne m’attendais pas à recevoir une seule lettre, étant donné que j’en avais interdit mes proches, de plus, votre écriture m’était inconnue. Tellement de questions se bousculent dans ma tête. Pourquoi est-ce qu’elles m’ont fait une chose pareille ? D’ailleurs, Anna est avec elle ? Et comment êtes-vous au courant de son départ ? Nous ne vous connaissons pas, du moins, je n’ai pas le souvenir d’avoir vu votre nom quelque part. Le fait de savoir qu’une parfaite inconnue aie lu mes lettres étant destinées à mon épouse me rend tellement mal à l’aise, j’ai l’impression que l’on a violé ma vie privée. Il faut que vous compreniez, je ne peux pas continuer à correspondre avec vous de la même façon qu’avec ma femme. Il faut que je réfléchisse mais que je m’éloigne de tout cela également : il ne faut pas que vos lettres et toute cette histoire me déconcentre pendant les entraînements.

Salutations,
Un soldat qui croit rêver.

Coucou !
Lolobauls > Ca doit être chaud pour toi d'écrire en lettres hein. Moi je pourrais pas, je suis obligée de faire une vue omnisciente pour ne pas déstabilisée. En plus comme le gars il sait rien de la situation de sa femme bah c'est chaud de... bref moi je ferais pas ce que tu fais xD
C'est très bien écrit, tout simple mais l'idée est bonne.
Merci de ton avis. Il y a vraiment rien à dire ? Je suis comblée, alors J'suis heureuse d'avoir fait des progrès, je fais beaucoup moins de lourdeurs :*
Mylia, merci énormément ! Le "on se plonge facilement dedans" a fait tilt dans ma tête, en fait c'était mon but ici D que ce soit triste et ""plongeant"" xDDD Tant mieux ! Et toi alors ? J'attends toujours, moi ! ahah ♥

Dernière modification par Cromaniatittude (Le 14-09-2015 à 18h06)

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Coucou !
Mylia, tu sais déjà que j'adore ce que tu fais hihi ^^
Framboise, c'est génial, j'accroche bien ! Je voudrais bien la suuuuuuuite ! J'ai pas trouvé de réel défaut à vrai dire, Mylia t'as reprise sur des détails que je n'avais pas remarqué mais si tu les corriges, ce seras mieux j'en suis sûre ^^

Bise !

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Coucou vous deux !
Framboise, Mylia a tout dit ! :3 Moi j'ai dévoré :33
Mylia, oh lala mais tu fais des corrections à notre chère Framboise mais que vois-je ? Du passé simple réinventé, encore une fois. x) Je lâche l'affaire sur la conjugaison ! Mais le scenario est toujours aussi badass, continue )

petit texte )

     C'était un peu comme une valse. Un truc qui part, et qui revient. Ponctué parfois, gêné souvent... Mais ne s'arrêtant jamais, se pressant toujours. C'était des clapotis comme le tic tac d'un métronome, une monotonie animée. C'était les tapements plus conséquents au sol, des bruits de bagarres minuscules, d'un régulier entraînant. C'était une odeur repoussante à l'instant où on la sent, puis qui s'ajoute au décor.    

      C'était les couleurs froides et ternes qui nous soufflaient de rentrer chez soi. C'était aussi la sueur sur les paumes, à force de tenir le manche du parapluie si nerveusement. C'était le bousculement inévitable du bouclier protecteur contre les poteaux, les panneaux, contre les arbres débordant un peu de la clôture de certaines maisons. C'était le nez humide, les joues rouges, les oreilles sensibles. C'était les cheveux dans la capuche et les mèches brouillant la vue. C'était les gens, tous exténués, qui couraient presque, leurs visages fatigués de sourire. Et c'était la pluie, qui expéditivement nous lavait.

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Coucou !
Merci Mylia, c'est adorable !

Framboiseeeee, super, j'adooooooooooooooooooore *-*-*

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Ho ! Une revenante !

Hey désolée je n'ai plus vraiment le temps de passer ou de tout simplement penser à venir. M'enfin, je suis là pour commenter toutes ces nouveautés !

Framboise : (1er chap) Je suis la seule à ne pas vraiment accrocher aux passages entre astérisques ? Pour décrire des actions, il est plus simple de formuler des phrases normales, dans certains passages, ajouter des astérisques est inutile. Exemple : "*grand sourire* *sonnerie*". En fait, ça fait tâche et un peu brouillon... "dit-elle avec un grand sourire" et "la sonnerie retentit" fait mieux. Libre à toi de continuer d'écrire de cette façon, mais personnellement j'accroche moyen à cette méthode.

Oops désolée j'ai été rattrapée par le temps, j'ai lu le deuxième chapitre mais n'a pas eu le temps de le commenter, je me rends chez des amis. Je reprendrai peut être cette nuit ou demain. Je posterai aussi ma lettre suivante, pour ceux qui s'en souviennent.

Edit : Si personne ne poste entre temps, j'éditerai ce message pour poursuivre !