Cromimi - Primeiro Jogo de Griação de Animais Virtuais

LaPetiteHermione >> Toujours aussi joli et bien fait !^^
Des rimes , des phrases brèves mais significatives ... Super !

Dernière modification par Mylia45 (Le 10-04-2015 à 17h05)

Aqualie >> La mort , non ?

Bonjour,

Il n'y a que des artistes ici à mon tours

C'est une histoire dans un monde imaginaire , enfin dans mon monde à moi , je ferais l'histoire par chapitre pour que ce ne soit pas trop barbant et long à la  fois :

Chapitre 1 : Un monde vaste ...

Au loin on entendait des cris , non plutôt un cri , quand soudain celui-ci devint de plus en plus fort ...
BOOOM !
Une jeune fille était tombé nul part dans un désert rose pale , avec des champignons aux milles couleurs , la jeune fille qui venait d’atterrie dans se drôle de monde s'appelait Margalia , fraîche et aussi curieuse qu'un nouveau né , elle ne savait point où elle se trouvait ...
Elle marchait,marchait ,marchait , sans s'avoir où aller , soudainement elle heurta un drôle de mur , enfin un drôle de torse , elle reculât par réflexe avant de crié , mais l'être qui se tenait en face d'elle était aussi horrible qu'un croisement d'un bossus , d'un chat de gouttière et toutes autres créatures qu’elle avait vu jusqu'ici , celui-ci se mit à courir après elle :

-Au secours ! A l'aide ! elle était éreinté , elle tomba sur le sol avant de s’évanouir ...
Margalia entendait des bruits de pas réguliers il faisait assez sombre , c'était peut-être la nuit ?Ses forces l'avaient abandonné . Elle ne sentait plus rien , le bossus la ramena près d'un chaudron , incapable de poussé le moindre petite cri elle se laissait faire , elle se disait que c'était la fin ...
Mais non , le bossus la posa sur le sol , lui cala un cousin pour sa tête , une petite couverture en velours , puis il bailla et s'endormit , Margalia ne comprenait rien à rien , elle voulait s'échapper , elle se dit que le lendemain il la mangerait , mais la façon dont il la traiter était si aimable , elle ne voulait pas partir , elle était bien où elle était ...

Alors qu'en pensez vous , avez vous des critiques ou avis sur mon premier chapitre ?

Bye!

Dernière modification par wissal101102 (Le 11-04-2015 à 19h48)

Ton histoire me touche vraiment , la façon dont tu décris est juste in-cro-yable ! Tu as sa dans le sang on dirait , de toutes les histoires que j'ai lus dans ce topique c'est ma préféré ! J'imagine très bien la scène , je vais récrire mon histoire avec tes critères et tu m'en dira des nouvelle , a la base je ne fais pas ce genre de fautes inattention , c'est juste que je ne me suis pas relus , je ferais attention En plus que ta p'tite histoire me touche elle n'est pas du tout barbante au contraire elle te plonge dedans , j'ai toujours détestée lire mais la vraiment chapeau bas , tu m’impressionne Continue sil-te-plaît c'est vraiment à coupé le souffle ! :'3

Voilà mon chapitre que j'ai refais dîtes moi ce que vous en pensez

Au loin on entendait des cris , non plutôt un cri , quand soudain celui-ci devint de plus en plus fort , comme s'il s'approchait  ...
BOOOM !
Une jeune fille était tombée nulle part dans un désert rose pâle mais aux couleurs assez vives et aux formes arrondies , avec des champignons aux milles couleurs , la jeune fille qui venait d’atterrir dans ce drôle de monde s'appelait Margalia , fraîche et aussi curieuse qu'un nouveau né , elle ne savait point ou elle se trouvait ...
Elle marchait, marchait, marchait, sans s'avoir où aller elle était inquiète , soudainement elle heurta un drôle de mur , enfin un drôle de torse , elle recula par réflexe avant de crier , mais l'être qui se tenait en face d'elle était aussi horrible qu'un croisement d'un bossus , d'un chat de gouttière et toutes autres créatures qu’elle avait vu jusqu'ici , celui-ci se mit à courir après elle :

-Au secours ! A l'aide !
Margalia courrait comme elle le pouvait , hélas ses forces allez bientôt lâcher ,éreintée, elle tomba sur le sol avant de s’évanouir ...

Margalia entendait des bruits de pas réguliers il faisait assez sombre , c'était peut-être la nuit ? Ses forces l'avaient abandonnées . Elle ne sentait plus rien , le bossus la ramena dans une sorte de petite maison en chaume , c'était sans doute sa maison , il la posa près d'un chaudron , incapable de pousser le moindre petit cri elle se laissait faire , elle se disait que c'était la fin ...
Mais non , le bossus la posa sur le sol , lui cala un cousin pour sa tête , une petite couverture en velours , puis il bailla et s'endormit aussitôt , Margalia ne comprenait rien à rien , elle voulait s'échapper , elle se dit que le lendemain il la mangerait , mais la façon dont il la traitait était si aimable , elle ne voulait pas partir , elle était bien où elle était ...

Alors c'est mieux ?

...

Dernière modification par wissal101102 (Le 11-04-2015 à 16h36)

Coucou !
Moi j'écris une trilogie depuis deux ans et j'aimerai vous faire partager ceci :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Après l'adrénaline montée à son paroxysme, suite au coup de maître du braquage, le groupe s'arrêta pour reprendre leur esprit, histoire de faire baisser ce speed naturel.           

  Personne ne parla pendant cinq minutes mais la satisfaction émanant de nos visages résumait très bien le ressenti général de tous ; nous avions réussis.         

  Je me levai la première pour commencer à parler aux garçons quand des sirènes retentirent tout près.       

  Ils se remirent sur pieds, aux aguets. Merde !, la police...         

  William nous demanda d'aller se cacher derrière un groupe de poubelle. Les pulsations de mon cœur se mirent à exceller de nouveau. Les sirènes se rapprochèrent de plus en plus ; une voiture passa au ralenti devant la ruelle, disparut... avant de faire demi-tour et s'insérer dans cette même rue. La panique s'empara de notre groupe et nous nous mîmes tous à fuir dans la même direction. Mais où aller ?         

  Sans hésiter une seconde, Naïm sauta sur une gouttière et la grimpa par la force des bras, très rapide dans son ascension, il laissa la place pour que nous le suivions.         

  La peur nous fit monter très vite, sauter sur les sous-balcons métalliques des bâtiments typiques d'Arcadia. Notre déplacement était plutôt impressionnant ; les plus agiles n'hésitaient pas à bondir d'une barre à l'autre qui étaient espacées de plus de cinq mètres.         

  D'autres ayant plus de mal à se mouvoir étaient plus prudents mais non moins efficaces. Moi, je me trouvais au milieu : incapable de faire des "tic tac" de parkour par exemple mais néanmoins apte à sauter de bâtiments en bâtiments. La police s'était agglutinée en bas de l'immeuble et commençaient déjà à tirer sur nous. Je ne retirai pas mon foulard, par obéissance à SA. Mais la progression était indéniable et certains policiers s'en rendirent compte ; un petit groupe d'entre eux se mirent à notre poursuite, empreintant les mêmes chemins et les mêmes structures d'accroche. Naïm, qui était en tête de groupe, s'arrêta net sur un petit toit où la surface était recouverte de végétation sèche. Il nous regarda et jaugea la distance entre les policiers, certains étaient en retard alors il décida rapidement d'arracher quelques petits arbustes et se lança dans le vide entre les deux immeubles. Nous ne le suivîmes pas, nous attendîmes le signal de SA, par le biais du talkiewalkie       

"-SA ! On est en galère !           

-Où êtes-vous ?         

-Sur les toits d'Arcadia ! Pourquoi t'es rentré ? On avait besoin de toi ! Naïm vient de sauter d'un immeuble et là... (Il jeta un regard en bas.) il jette des... végétaux à des policiers arcadiens."         

  Nous nous ruâmes tous pour voir la scène.         

"-On saute ou pas ? On dit quoi au policiers bordel ?! s'énerva-t-il. Ils arrivent !         

-Vous dites que vous participez à un jeu et que s'ils tirent, le sang va gicler !"         

  Il raccrocha.         

  William, prit d'un accès de fureur, lâcha un juron en rugissant et balança l'objet d'un coup de pied.         

-LES MAINS EN L'AIR ! hurlèrent les agents.         

  Les yeux de mon ex-copain étaient deux trous noirs avec une étincelle de haine viscérale.         

  Nous obéîmes aux ordres sans pour autant cacher nos armes.         

-Nous participons à un jeu, répéta Cake, vous nous tuez, vous serez morts en premier.         

  Les policiers partirent d'un accès de rire puis rugirent.         

-Posez vos armes !         

-Non, répondit sèchement William.         

-Ferme-là, bandit, obéis !         

-Est-ce à vous d'en décider ? demandai-je avec insolence.         

-Nous sommes la police madame, alors vous vous taisez et vous vous exécutez.         

  Ils commencèrent à sortir leurs armes mais je les stoppai d'un mouvement de bras.         

-Vous n'êtes pas notre police. Vous n'avez aucun droit sur nous alors nous retirer nos armes serait un abus de faiblesse car vous n'êtes pas la justice qui nous représente.         

-Faiblesse vous dites ?         

  Je répondis par l'affirmative et m'avançai vers eux.         

-Vous tirez, on tire.           

  Les pistolets de mes coéquipiers se pointèrent sur les trois gendarmes.         

-Peu importe d'où vous venez madame, la police a toujours une influence capitale sur les citoyens.         

-Et il semblerait qu'il y ait une faille dans votre raisonnement.         

-Laquelle ?         

-Nous ne sommes pas des citoyens. Diane-Kathleen Elysa Bukkater des Contrées du Nord de l'Île du Triangle. Maintenant vous baissez vos flingues et vous dégagez !         

  Ils ne baissèrent pas leur armes. Cake pressa la détente, un clic résonna. Encore un appui et les agents de polices étaient morts. Mais l'un d'eux fut de même. Je vis alors une silhouette arriver par derrière. De longs cheveux blonds, une barbe brune, de grands yeux bleus, une fine morphologie et de grandes mains ; SA.         

-Voyons messieurs dames, s'écria-t-il d'une voix enjouée, il n'y a pas de quoi s'affoler. (Soudain sa voix devint menaçante et beaucoup moins enthousiaste) C'est vendredi 13 !           

  Les coups partirent et les trois policiers tombèrent raides morts sur le sol. De larges flaques de sang rouge s'étendirent par terre. Je blêmis. Une autre sirène retentit. Cette fois, n'ayant plus de balles dans la chambre de nos pistolets, nous n'hésitâmes pas à bondir. Dans ma tête, je fis un décompte, et à "trois", je me jetai dans le vide. Un instant d'apesanteur et mes pieds heurtèrent le sol avec forte résonnance. Le choc se répercuta dans mes chevilles. Je vacillai puis tombai. La joue contre le gravier, je sentis une main secourable me relever. À mon grand étonnement, ce fut William qui m'était venu en aide. Il rit. Je l'imitai, nerveuse. Nous continuâmes notre course. À mi chemin entre les murs, Benjamin lança des poubelles sur les policiers. Mais ils effectuèrent un salto avant et atterrirent in-extremis sur le rebord de la rue. Plus nous nous engouffrâmes dans la ville, plus les rues devenaient soit étroites soit jonchées d'obstacles. Nous grillâmes plusieurs fois les feux rouges, et seuls deux policiers réussirent à nous talonner. Mais Benjamin attrapa quelques autres poubelles et les balança à la figure des agents qui, cette fois, se les reçurent en pleine figure. Ils tombèrent en entraînant des passants dans leur chute. L'idée était bonne car cela permit aux derniers compagnons de ne pas se faire rattraper.         

  Sautant de toits en toits, nous prîmes vraiment du plaisir au bout d'un moment. Nous roulâmes après la réception sur le dos avant de reprendre la course frénétique, de s'accrocher aux structures les plus improbables pour franchir les obstacles.         

  Will et Naïm nous entrainaient à pratiquer cette discipline. Tous se concentraient pour imiter le précédent. Une valse urbaine incroyable animait les hauteurs de la ville.         

  D'autres policiers venaient d'arriver, plus chargés que les précédents. Armés de fusils, de pistolets et de carabines , cette fois ! C'est pour cette raison que le rythme ne devait pas baisser.         

D'un coup, William s'arrêta sur l'arête du toit... aucune possibilité d'accès, à part un aller vertigineux de plus de quatre vingt-mètre de hauteur sur une superficie de dix mètres. Nous étions dans un terrain de travaux où nous n'avions pas le droit d'aller. La passerelle était très fragile et semblait tanguer à la moindre bourrasque de vent. Mais aucune autre issue. Benjamin hurla d'un coup. Il venait de se prendre une balle dans le genou. Comme moi, autrefois. Je savais quelle douleur ça procurait.       

-Traversez cette putain de passerelle ! tempêta-t-il en gémissant de douleur.         

  William posa son pied dessus et, avec un risque sans limite, il s'élança et traversa la passerelle en courant. Il cria mon prénom, en signe d'alerte. Je baissai les yeux. Les policiers tiraient sur William.         

-Je vous rejoins à la caserne ! s'époumona-t-il.         

  Une balle fit exploser les vitres du bâtiment dans lequel Will venait de s'introduire. Entendant les coups de feu et la pression qui montait, je fermai les yeux. Rassemblant tout mon courage, je piquai un sprint. Mes pas furent agiles, rapides, maîtrisés. Les balles jaillissaient de tout les côté et ce fut compliqué de garder l'équilibre avec toute cette horrible chamade. Je vis une grue juste en dessous. C'est avec la bravoure et la détermination que je me jetai dans le vide. Je ne pouvais plus voler. On m'avait enlevé mes facultés. Je me sentis alors plus humaine que jamais lorsque la chute devint plus dangereuse que prévue. Mon foulard se détacha, je levai la tête. Naïm avait fais exactement comme moi alors qu'il n'avait absolument pas l'habitude de ce genre d'expérience. J'eus un déclic lorsque je le vis battre des jambes et des bras. Je secouai tout mon corps, violemment, et deux panneaux de toile à sangles tombèrent de ma combinaison, un sous les bras, l'autre entre les jambes. Mes foulards claquaient et flottaient, et les toiles emprisonnaient le vent. Arrivant à quelques mètres de la grue, je me préparai à atterrir : je me secouai une seconde fois. Un parachute s'ouvrit le long des panneaux de toiles qui ralentissaient ma chute. Je m'agrippai à la première poutre et, voyant un muret tout près, je la lâchai, projetai mes jambes en avant. Je heurtai le sol brutalement. Une bonne réception qui me maintint indemne. Les coussins se dégonflèrent aussi vite que mes pieds se remirent en mouvement. Je n'ai pas le temps de m'attarder sur mes coéquipiers car le bal des balles n'avaient pas cessé. Il fallait que je m'enfuis. Distraite par la tour en face, je ne remarquai même pas mes camarades. Jusqu'à ce que je vois Juliette, de l'autre groupe. Elle s'agrippa de toutes ses forces au lierre du muret de la maison mais sa fragilité et son manque d'entraînement la firent dégringoler. Je me précipitai vers elle, risquai ma vie une énième fois et l'étreignit brusquement. La jeune fille haleta un peu puis, me reconnaissant, elle se calma. Des larmes noires coulèrent le long de ses joues rosies par les bourrasques de vent. Bien que Juliette n'ait pas un poids relativement surélevé, je faiblis. Ma main gauche s'accrochai à sa taille tandis que l'autre s'agrippait à un barre métallique d'une autre grue. Nous étions à plus de cent mètre du sol et la chute serait évidemment mortelle. Je pivotai alors dans les airs, glissai et mon pied trouva appui sur un pavé de la tour. Je lâchai la grue et, d'une main, me maintins. Juliette me lâcha et monta seule. Une balle s'enfonça dans la mousse. Je continuai de grimper toujours plus haut. Pouce après pouce, vers le sommet de la vieille tour aveugle. Mes doigts se frayaient une prise entre les pierres noircies, mes pieds cherchaient des points d'appui. Ma tête me tourna, je sentis déraper mes doigts. Je fis une chute de quelques mètres . Je poussai un cri déchirant, cramponnée au désir de vivre. Je criai jusqu'à ce que SA me rattrape par la bras, me tire vers lui et que je m'agrippe à son gilet. Face à la peur et au soulagement, je ne savais pas comment le remercier. Plus nous montâmes et plus j'avais peur de rechuter. Mon poids se faisait plus présent dans les bras de SA et il restait une quinzaine de mètre à parcourir avant d'arriver au sommet. Là-haut, se découpaient contre la pâleur du ciel rose, des silhouettes de gargouilles. Elles nous observaient venir d'un regard de braise. Le blond barbu était trempé de sueur. "Un peu de courage ", soufflai-je. "Allez !" protestai-je. Il poussa un geignement avant de se cramponner aux barres instables d'une échelle. Il me tenait comme William l'aurait fais. C'est-à-dire, contre son cœur pour que j'entende les pulsations et que je prenne conscience à quel point il m'aimait. Mais là c'était tout autre chose ; SA le faisait par bonne intention ; pour me garder saine et sauve. Puis, me ressaisissant, je pris appui sur l'échelle à mon tour, juste après Jon. La douleur de mes chevilles, due à l'impact lequel j'avais atterri il y a peu de temps, me fit grincer des dents mais je montai quand même. Une main se présenta devant mon champ de vision. Je m'y accrochai solidement et sentis l'autre main s'enrouler autour de ma taille avec un  peu trop de fougue à mon goût. Je me dégageai immédiatement.         

-Oh quoi ! Si on n'a plus le droit d'enlacer les jolies gonzesses...         

-Marwin !         

  Le reste du groupe nous rejoint. Tous sauf William.       

  Cake alluma le talkiewalkie et la voix du Lycanthropes grésilla derrière.       

-Vous foutez quoi là ?       

-On est coincé en haut d'une tour ! Je ne sais pas où on est mais toi, t'es où ?       

-Je suis rentré à la caserne y'a même pas cinq minutes. Geronimo a envoyé des soldats sillonner Arcadia pour vous retrouver et vous protéger.       

-Euh... Les gars... On a problème.       

  Il raccrocha, laissant William interloqué derrière son bidule électronique.       

  Cake fixai le ciel. Un petit point noir s'élargit jusqu'à prendre forme. Une hélice tournait et des portes s'ouvrirent pour laisser des hommes sauter.       

-On dégage ! Vite !       

  Au signal de Niko, un autre Fusilleur, nous descendîmes en hâte la petite échelle. Voyant un immense fil reliant deux grues, nous nous y accrochâmes un par un et fûmes contraints de rejoindre l'autre rive. Après tous les efforts fournis, je me sentai incapable de faire ça. Mais les soldats, habillés de noirs, entourés de foulards au-dessus de la bouche dont la seule décoration était la mâchoire d'un crâne, projetaient des fléchettes pour nous faire tomber dans le fossé juste en dessous. Avec un peu de chance, nous arrivions indemnes dans l'hélicoptère mais le poids de la chute ne garantissait rien. Alors, ne voulant pas que ça m'arrive, je m'accrochai solidement au fil de fer et mit mes bras en action. L'un devant l'autre, prenant tout mon temps. La distance à parcourir n'était pas bien longue mais la pression était insoutenable. Mes mains suaient, tremblaient, crochetaient le fil. "Je ne tiendrai pas", me dis-je. SA, devant moi, s'en tirait parfaitement bien mais sous aucun prétexte il ne m'aurait aidé. Ah ça ! La douleur revint soudainement. Plus présente, plus excessive, plus fulgurante. Je plissai les yeux, l'empreinte de la souffrance sur mon visage. Une fléchette arriva dans la carotide de Jon, un ami de Cake, qui lâcha immédiatement prise. Naïm m'aida à rejoindre la grue et nous regardâmes tous avec effroi les soldats s'emparer de notre coéquipier pour le capturer à la Clémente. Je lâchai un soupir de dégoût, me mordant la lippe.       

  Des fumigènes étendirent de la fumée noire et blanche et nous sûmes à ce moment là qu'il fallait rapidement prendre la fuite. C'est ce que nous fîmes dans la minute même.       

  Alors qu'une atmosphère épaisse et moite engonçait la ville à la manière d'une couverture de laine humide, nous courrions sur les toits, pistolets en main, prêts à riposter à l'attaque des soldats. Les coups vinrent, nous rendîmes la pareille sans pour autant cesser notre course. Je faillis trébucher à maintes reprises sur les cheminées ou paraboles mais Marwin était toujours là pour me remettre dans le droit chemin. Un moment même, lorsque nous devions nous élancer pour rejoindre un autre immeuble un peu plus bas, il me porta dans ses bras alors que j'étais essoufflée mais parfaitement apte à effectuer ce saut. Il avait une force supérieure à la mienne. C'était un hybride. À entendre ces mots, mon âme grelotta. Marwin me lâcha une fois l'acrobatie terminée et nous nous arrêtâmes pour reprendre notre souffle. Quand tout à coup, le talkiewalkie se mit à diffuser la voix de Jessica :         

"-Je suis jute en bas, je tourne en rond à côté de la banque que vous avez braqué !       

-Avec quelle voiture..., balbutia Cake.       

-On s'en fiche ! C'est pas le propos.         

-Bon. On arrive !"       

  Il raccrocha et s'introduit dans une cheminée. Nous nous regardâmes, stupéfaits.       

-On se retrouve dans la voiture de Jess ! Ciao !       

  Laissant Cake derrière nous, nous continuâmes notre trajectoire et descendîmes par les gouttières, puis par les égouts. Juliette tomba à la renverse, se pencha et vomit de la bile dans l'eau délabrée.       

-Tu vas bien ? m'enquis-je en la prenant par la main.       

  Elle hocha piteusement la tête avant de se relever. Je la pris sur mes épaules et me mis en marche. Nous rentrâmes résolument dans une obscurité croissante. Le couloir emprunté aboutissait à un autre boyau que nous rencontrâmes transversalement. Nous prîmes la première voie sans réfléchir. Il était moins étroit que le premier mais plus pentu. Le souffle saccadé de Juliette près de ma nuque me chatouilla mais me rassura. Elle reprenait ses esprits et se reposait. Elle n'avait, je crois, que treize ans. Nous cheminâmes dans d'autres petits couloirs puants où nous marchâmes péniblement. Nous fîmes halte devant un soupirail assez large qui diffusait une lumière vive. Avec tout la douceur que je pus donner, je déposai Juliette au sol. Elle sortit de sa poche un sparadrap. Elle m'en colla un bout le front, là on le sang s'écoulait le plus. Elle avait les yeux à moitié fermés, les cheveux appliqués aux tempes comme des pinceaux séchés, les membres froids et sans mouvements, du sang coagulé à la commissure des lèvres. Un caillot de sang c'était d'ailleurs amassé dans la fermeture de son gilet.       

  Une grande arche était celée d'une forte grille et au-delà, la voiture de Jessica, garée juste devant nous. Naïm crispa les poings sur les barreaux ; la secousse fut frénétique, la grille ne bougea pas. Puis le visage de Jessica apparut juste devant la grille. Elle ordonna de reculer pour la laisser défoncer la porte. Elle utilisa une barre de fer pour défoncer la serrure et ouvrir la grille. Cela opéra. Alors nous nous précipitâmes tous dans la voiture en nous agglutinant. La tête de Marwin s'affaissa sur mon épaule et il me serra la main. Je restai lettre morte.

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Stephen m'emmena au fond d'un couloir blanc menaçant. Un blanc oppressant, qui semble vous scruter et vous jauger du regard dans les moindres recoins.   

  La douleur de la flèche que j'avais reçue au-dessus de la clavicule me lança. Je réprimai un geignement.   

  Au fond de la salle, une grosse machine –blanche– était disposée à côté d'un siège incliné. Stephen m'emmena près du long plateau mesurant la taille d'une armoire. Je m'y allongeai et attendis nerveusement que le plateau pénètre à l'intérieur de la grosse machine.   

-Nous allons pouvoir déterminer votre appartenance à un camp suite à une radiologie.   

  Je hochai la tête et fermai les yeux.   

  Là, déjà, je sentais la froideur du métal et l'espace restreint m'angoissait. Les coups sourds intempestifs me firent serrer les poings et les paupières, grincer des dents, et déclenchèrent en moi la sensation d'être enfermée dans un cercueil. Je ne suis pas claustrophobe mais je dus admettre que les coups, la lumière aveuglante et la douleur lancinante de mon buste, réveillaient en moi des minis crises de claustrophobie.   

  La porte s'ouvrir et je ne pris pas le temps d'ouvrir les yeux. Tout ce que je vis –et c'était tout ce que je voulais voir !– c'était le rouge de mes paupières. Je sentis Stephen me retirer les languettes qui servaient à me maintenir en place.   

-D'aussi magnifiques yeux verts méritent d'être exhibés à ma vue.   

  J'ouvris les yeux. Pas pour lui faire plaisir mais parce que je commençai à me sentir aussi enfermée que si j'étais dans la machine.   

-C'est quoi un IRM ? demanda Peter.   

  Je n'avais pas remarqué sa présence. Il me lança un sourire malin, un sourire qui m'avait bien manqué !   

-C'est une technique médicale qui permet et facilite considérablement la vue en deux voire trois dimensions de l'intérieur du corps, ici, du cerveau de Diane-Kathleen, avec une résolution en contraste plutôt élevée. Cela nécessite un champ magnétique stable produit par un aimant supraconducteur qui crée une magnétisation des tissus par alignement des moments magnétiques de spin. En imagerie médicale, l'IRM ou Imagerie par Résonance Magnétique, est principalement dédiée à l'imagerie du système nerveux, du cerveau, de la moelle épinière, muscles, cœur et tumeurs. Il ne permet pas l'étude des corticales osseuse qui sont des tissus dit "durs". Ceux-ci sont pauvres en hydrogène, donc la recherche fine de fractures où seul l'œdème péri-lésionnel peut être observée.   

-Quel différence avec le scanner ? questionna mon ami en présentant les radiologies sur la table de basalte.   

-Il n'y en a pas vraiment, à vrai dire. IRM est parfois désigné sous ce nom. Ne pas confondre avec le tomodensitomètre.   

  Il me montra les radiologies et m'expliqua avec détails ce qu'il avait analysé.   

-Voici une image IRM de ta tête en pondération T1, coupe sagittale. (Il fit l'impasse sur mon visage de profil et s'attarda sur la représentation de mon cerveau.) Là, c'est ton cerveau entouré du liquide céphalo-rachidien. Là, c'est l'hémisphère gauche et voici ton lobe occipital. Il est remarquablement gros et ce lobe contribue à la vision. Ce n'est pas ce qui nous intéresse le plus. Regardons bien la taille de ton lobe temporal : même taille que l'occipital. Cela démontre que tu as une forte capacité à te souvenir de ce qui a été dit ou montré. Ta mémoire visuelle est aussi performante que ta mémoire auditive. Tu es quelqu'un de très compatissant, de sensible et de passionnée. On coche donc la case "émotions". Maintenant dis-moi en combien de temps tu as apprit le Végain ?   

-Je ne saurais être précise mais comme c'est une partie de ma transformation, je dirais une voire deux semaines maximum.   

-On coche donc la case "langage". Tu as aussi une facilité primaire à réguler ta faim et sa soif. Ton hypothalamus est donc assez développé. En revanche, ton cervelet est plutôt petit par rapport à la moyenne. Et ton lobe frontal est gros. Le lobe partial est d'apparence normal. ce qui résulte à ça : tes capacités à activer tes reflexes et ton sens de l'orientation ainsi que le jugement te dirigeraient plutôt vers les Chasseurs. En revanche, ta vision, ton sens de l'orientation et ta facilité à gérer ta faim et ta soif te situent plus vers les Fusilleurs. On a jamais eu à faire ça mais là on n'a pas le choix. On va devoir te laisser choisir entre les deux camps.   

  Il me montra deux seringues. Une avec une flèche dessinée sur le tube et un pistolet sur l'autre. Je me saisis de celle de gauche et me la plantai dans les veines du poignet. Une tache sombre s'imprima sur ma peau albâtre. Puis je distinguai avec plus de précision un pistolet. La marque se forma entièrement sur mon avant-bras. J'avais choisi de rejoindre William et les Fusilleurs.

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Le cheval hennit et s'arrêta net devant une taverne à l'obscurité pestinetielle ; le son de ses sabots sur les feuilles mortes violacées était comme le crépitement d'un feu. Je nouai une corde au cou de ma jument et attachai l'autre bout à un tronc d'arbre rabougri. Je pénétrai ensuite dans la grotte dont les murs dégoulinaient de sang gluant. Je décelai une puanteur parmi les cadavres recroquevillés sur eux-mêmes. Ils avaient été profondément mordus. L'odeur des abats ensanglantés empestait à des kilomètres à la ronde. Puis, un grognement. D'une haine viscérale et inhumaine. Je n'osai pas me retourner, sachant qu'il y avait quelque chose que je n'apprécirais pas vraiment, derrière mon dos. Dehors, j'entendais Salvatore, l'italien, qui poussait une gueulante. Je voulus sortir en catimini mais un couteau fiché dans le sol me fit perdre l'équilibre. Je basculai alors involontairement la tête en arrière. Je geignis de douleur au talon puis, voyant deux points de couleur jaune acide, j'oubliai l'érraflure et me relevai illico presto. Sans me retourner une fois, je saisis une petite dague dans ma ceinture, coupai la corde qui retenait ma jument, la montai en vitesse et m'éloigna de cette répugnante et effrayante taverne. Des effluves de parfum poivrés vinrent me chatouiller les narines.
-Ron-Derrick !
  Je me retournai, frissonnant.
-Oui.
   Salvatore jeta un regard inquisiteur en direction du chemin que j'avais quitté et posa ensuite sur moi ses prunelles lourdes de menaces. Je lus carrément dans ses pensées : "Ne retourne là-bas sous aucun prétexte." Chose que je n'avais pas l'intention de faire.
   Puis, un tintement de petites cloches résonna derrière nous, mêlé aux son du mouvement des arbres. Cette fois, je pris la peine de me retourner et aperçus une silhouette sombre se découper dans la lueur du soleil couchant. Une silhouette de Lycanthropes. Je n'avais rien à craindre, ils sont nos alliés. Ou... peut-être devrais-je craindre la famine de la créature.
   Frappant son persan au flanc, Salvatore se précipita hors des bois. Je lui emboîtai le pas.

Bonjour,

Trynda: Non non il y a bien un accent sur le "où" ^^ ! Autrement merci beaucoup d'avoir lu (en même temps c'est méga court pour un chapitre) et de m'avoir corriger ^^ Je ferais attention à tes critères , tu as vraiment raison , les points de suspensions faut que j'arrête quand même un peu

Giniee: Ton travail est remarquable ! Désole mais je n'ai lus que le premier spoiler ^^' (j'aime pas la lecture x3) Comment tu décris et super , on ressent l'action (que mwa nion) Non franchement j'en suis vraiment fan~ !

Je posterais le prochain chapitre après :3 !

Bye!

Dernière modification par wissal101102 (Le 12-04-2015 à 16h12)

Bonjour, bonjour !♥

Aujourd'hui juste un petit poème, je commence une histoire j'essaierai de vous poster le prologue en spoiler.

Seule ta douce âme me rendit plus belle.

Tes yeux..
Fenêtres de ton âme reflétant, en cette période mélancolique, ma somptueuse niaiseries.

Oui, je l'entendit de plus bel, cette symphonie.

Foutu mélodie, d'un cœur à l'agonie.
Auras-tu eu tes désirs ?

Ce paradis m'a désormais oublié.
Tu as gagné.

Bisouilles. ♥

Noooon , j'avais écris mon deuxième chapitre qui ma prit 2 heures !!!  Et quand j'ai voulut envoyé tout c'est effacer , mais minceee~!!!

Du coup je posterais un autre jour !

...

un poème dédicacé à mes brothers and sister,Hugo,Théo et Chloé:

Chloé ma little monster
Tu fais tout mon bonheur

Hugo mon brother patissier
Tes cadeaux sucré
Me font rêver

Théo mon brother préféré
Tu nous fait toujours tous bien rigoler

Je vous aimes tous!!!!
Vous êtes tous différents
Et c'est pour ça que je vous aimes autant

     

Votre sister,Lou-Ann

Poème supprimé par LPH le 20 janv 2016. Je le trouve nul. De même que celui plus haut

—Tu es le maître de ton destin, tu es le capitaine de ton âme. Nelson Mandela.

Dernière modification par Laptitehermione (Le 20-01-2016 à 14h23)

Bonjour,
Trynda > Tu me demandes si 1 )mettre une virgule juste après un point d'exclamation est toléré ou si 2 )les gros mots doivent être mis entre guillemets pour accentuer la surprise ? Je ne te comprends pas, tu n'es pas claire. Sinon si c'est ça ta question et bah... la 1)oui, on peut et 2) Non.
@Wissal101102 > Merci beaucoup.

Nouveau texte (: C'est le prologue du tome 2 de BTBB ^^ Bonne lecture !

Spoiler (Cliquez pour afficher)

L'écran géant projeta une vidéo que les humains regardèrent avec étonnement. Sous la politique de Geronimo, ils étaient privés de télévision, de radio et même de téléphone. Rien qui leur permettait d'être en contact avec le monde.

  Sur la vidéo, ils reconnurent Diane-Kathleen, la Dyreinaa, "la juste" selon certains. Quand l'un d'eux se leva, un garde derrière lui assena un coup avec la crosse de son pistolet. Il fut contraint de se rasseoir et de regarder les images.

  Diane dévorait la zibeline avec rage sans se soucier que dans ces Contrées, elle risquait sa vie. Lorsque Ron-Derrick apparut derrière, les yeux écarquillés comme des soucoupes, elle se demanda pourquoi il ne se joignait pas au festin. Puis elle vit la Cara, le fleuve qui la séparait les Contrées de l'Ouest. Elle comprit qu'elle était dans les terres Lycanthropes et non dans les siennes.

  Elle déguerpit le plus vite possible et gravit une tourelle éclairée par une lueur blafarde. Elle se mit à déchiqueter la petite bête et plongea sa main dans le corps. Elle écrivit sur les murs cette phrase : "À mort l'antihumanisme". La vidéo se coupa et des chuchotis parasites se répandirent un peu partout dans la salle. À peine Thaurenn eut le temps de s'adresser à ses humains que ceux-ci se ruèrent sur les gardes et arrachèrent leurs armes d'une force herculéenne. Impuissants, les gardes ne purent pas rappliquer et furent tués aux premières balles. Thaurenn, autant choqué qu'effrayé, se réfugia dans ses appartements et s'y enferma, laissant les soldats se faire descendre.

  Les soldats de Geronimo vinrent en aide à Thaurenn qui venait de lancer le signal d'urgence.

  À présent, le rez-de-chaussée était jonché de cadavres, d'os, d'armes, de balles... La mort, la cruauté et la rébellion sont les trois sentiments majeurs qui flottaient dans l'air. Des gens terrifiés tentaient de s'enfuir par diverses portes, par diverses fenêtres, par le toit, par le sous-sol. Ils marchaient tous sur les corps abattus et dégoulinants de sang sans y prêter attention, tous préoccupés à sauver leur peau. Ces cadavres avaient le regard sans âme.

  Quelques humains parvinrent à s'échapper mais la majorité d'entre eux se firent tuer.

  Les survivants se regroupèrent tous sur la tour où Diane avait inscrit la phrase qui avait tout bouleversé. Tous se mirent à crier et à lever des drapeaux au symbole du corbeau. Au symbole des Tyunes. Ils dessinèrent une zibeline sur les murs avec de la craie et la colorièrent avec du sang.

  C'était peut-être le début d'une révolution.

Dernière modification par Giniee (Le 21-04-2015 à 11h41)

Bonjour !
Alors voici le début de mon histoire !
{supprimé]

J'espère que ça vous plaira !
Bon jeu !^^

Dernière modification par Mylia45 (Le 01-03-2017 à 16h45)

Mylia45> J'aime beaucoup ! Mais cela serait bien de faire une description physique de ton héroïne :) J'ai hâte de savoir la suite.

Quant à moi, voici le début d'un de mes OS :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

C'était un samedi tout aussi banal que les autres jours. Un jeune homme et une jeune femme marchaient côte à côte sur un trottoir. L'homme avait de courts cheveux bleu électrique, des yeux d'un bleu profond et une expression de colère sur son visage. Il portait un T-shirt noir basique sous un gros manteau bordeaux et une paire de gants chocolat qui contrastait avec son jean brute.

A l'inverse de ce dernier, la jeune femme possédait une longue chevelure émeraude retenue en un chignon soigné, des yeux bruns et un sourire chaleureux. Ses formes généreuses étaient cachées par une adorable veste rose bonbon accompagnée d'une écharpe en laine légère de couleur ébène.

Il s'agissait là de Jack Grimm et de Nellyel Evehn. Ces deux là habitaient en colocation depuis maintenant 3 ans. Jack travaillait comme coatch sportif et Nellyel comme vendeuse dans une petite boutique.
Aujourd'hui, ils étaient sortis faire les courses dans un supermarché plutôt éloigné de leur appartement car celui qu'ils fréquentait habituellement avait fait grève. Mais, ayant une chance incroyable, ils avaient fini perdu au beau milieu de nulle part.

- Bordel ! On est où là ? On tourne en rond depuis 2 heures sans retrouver notre chemin ! Ça commence vraiment me faire chier ! S'exclama Jack en shootant dans une canette vide, très énervé.

- Jack, calme-toi. Ce n'est pas en criant et en t'enflammant qu'on retrouvera notre chemin. Dit intelligemment Nellyel, en prenant la main de son colocataire dans la sienne pour le tirer vers une rue qui lui semblait familière. Regarde, je crois que cet endroit me dit un truc ...

- Vu ton sens de l'orientation, mieux vaut pas te suivre ! Je te signale que c'est à cause de toi qu'on est perdu, Abrutie ! Tu désignes cette rue là ? Okay. Moi j'vais prendre celle qui est opposée à la tienne. Dit le jeune homme, un sourire carnassier s'affichant sur son visage colérique. Il exécuta alors ses dires.

- Jack ! T'es sérieux ? Tu vas encore plus te perdre, idiot ! Reviens-ici ! Cria Nellyel alors que Jack s'éloignait de plus en plus. Pff, ce gosse m'écoutera jamais ... Tant pis pour lui, qu'il se débrouille seul.

A peine eut-elle terminé sa phrase qu'une incroyable masse d'air vint la frapper de plein fouet, la faisant reculer par la même occasion. Elle se sentit soudain comme aspirée par quelque chose d'inconnu. Nellyel essaya de s'accrocher à tout ce qu'elle put mais en vain. La force qui l'attirait était bien trop puissante. Elle tenta de crier, d'alerter son compagnon mais aucun son ne sortait de sa bouche. C'est alors que sa tête heurta le sol dur et qu'elle sombra dans l'inconscience.

Dernière modification par Jayle (Le 10-05-2015 à 17h27)

Merci , ça me touche beaucoup ! Et je posterai très prochainement la suite !  ( avec la description qui arrive !)
Sinon , ton OS est vraiment bien ! J'adore ta façon de formé tes phrases , de décrire les événement ...la suite , la suite ! 

Merci beaucoup Mylia ! J'ai hâte de pouvoir lire le prochain chapitre :3 Ooh ! Ça me fait très plaisir de recevoir tant de compliments, merci énormément ! En ce qui concerne la suite, je suis en train de travailler dessus.

Bonjour !
Comme je l'ai dit , la suite arrive !


Bon jeu !^^

Dernière modification par Mylia45 (Le 01-03-2017 à 16h46)

Coucou

A mes heures perdues, j'écris des minis poèmes de rien du tout, dites moi s'il vous plait ce que vous en pensez (et ça riiiiiiime ^^)

Tempête dans mon coeur
Ouvrez les voiles
Je crois bien qu'il est l'heure
Regardez bien cette étoile
Une vague m'a surbmergé
Et quand il a ferme l'écoutille
Mon coeur a était emporté
Je crois bien que je vacille
Je respire des embruns
Suivons Eléonore
Et son parfum
Nous guidera jusqu'au plus beau trésor
Dans un grand coffret
Pirates à l'horizon
Je l'ai caché
Et comme un papillon
Il m'a bercé
De doux souvenirs
Je quitte le navire
Tu m'as manqué

Voila je précise que Eleonore est en fait l'étoile polaire puisqu'elle est au nord

Mathilde ' : J'aime bien ton poème , les rimes sont là ( toutes bien trouvées , ça mérite quand même un bravo !), elles suivent bien le thème . Un côté un peu simple et en même temps réfléchit ( pour ceux qui me comprennent ...)
Ps : Ouiii , je sais , ça ne fait pas longtemps que j'ai posté de début de mon histoire , mais je regarde toutes les 2 s si quelqu'un a répondu ...