Cromimi - Primeiro Jogo de Griação de Animais Virtuais

aurane0412 a écrit :

et voici un autre poeme mais cette fois sur ma ville de naissance

Cannes, toi qui m'a logé
Qui m'a abrité
toi a qui j'ai confiée tout mes secrets
Te revérai-je un jour?
Sais tu que la tristesse m'a habité
quand j'ai du te quitter...
Tant de souvenirs, des bons et des mauvais,
Tant d'amies que j'ai du quitter,
Mais je te le promet
Je reviendrai bientôt,
Avec encore plus de joie qu'avant
Car quel plaisir cela va être
de te retrouver!

sophie50663 a écrit :

Un amour normal.

Je suis née
Ma vie a commencé
Je commençait par jouer a l'école maternelle
Ensuite de CP A CE1
Toujours personne a l'horizon
Justes des moches garçons
CE2 Et CM1 L'enfer été là
Pourquoi ? Parceque j'ai des boutons d'acnées
S'en été assez
CM2 J'ai trouvé l'âme soeur
Il a fait battre mon coeur
Mon amour je l'attendrai
Même s'il ne m'aimera plus un beau jour
Moi je l'aimerai pour toujours
Je l'attendrais nuit et jour
Car je sais que c'est lui l'amour
L'amour ... De ma vie !
Et mon poème est fini


... J'ai besoin de votre avie c'etait comment ?

poème que j'ai crée il a pas longtemps


poéme d'amour

Toi qui me manque tant...
et moi qui t'attend...
Reviens sil te plait
Que l'on se fasse des baisés...
Mais si tu est bien la-bas
Alors ne reviens pas...

Fin

avis ?

'Lut!
Vous avez tous un petit talents pour les poésie, mais je pense que quand on veux vraiment réussir, il faut en faire souvent. Je pense que vous manquez juste un peu d'entraînement.
Voilà, je ne veux pas être méchante, mais c'est mon conseil: de l'entraînement!


Aaliwan

Amande: un peu court mais j'aime bien

Des avis sur ce poème que je viens de crée à l'instant :


la Fleur

Quand j'ai cueillis cette fleur
Dans le champs prés d'ici
J'ai ressenti un telle bonheur
S'imposer dans ma douce petite vie...

Dans la lointaine clairière
Où je l'ai cueillis hier
Il y avaient de nombreux papillons
qui volaient vers l'horizon...

Revenons à cette fleur noir
oui , cette fleur si rare !!
Aussi nommait trésor
quand elle est en or...

J'y mettrais tout mon amour
Oui , à m'en prendre tout mes jours
Oui , à m'en prendre tout mon coeur...
Oui : La Fleur

'Lut!
Sakina': sympa, mise à par que quand tu mets "quand elle st en or", j'aurai plutôt mis comme à la place de quand. Sinon elle est chouette!

Aaliwan

goute après goute

  goute après goute la pluie tombe  je ne voit plus le soleil
  ni ton sourie sur ton visage 

sans toi rien n es plus pareil  le monde s est arrêter de vivre  les oiseau ne chante plus
tu me manque 



la première fois que je t ai vue mon coeur et ma conscience mon dit que je devais t aimer


c chou hein je lai inventer un jour de pluie:mimi03:

la fin du poeme juste avant ct sans reflechir je lai fait avec le coeur et la consience excuser moi chui fatiguer:cro04:

lilouchien11 a écrit :

aurane0412 a écrit :

et voici un autre poeme mais cette fois sur ma ville de naissance

Cannes, toi qui m'a logé
Qui m'a abrité
toi a qui j'ai confiée tout mes secrets
Te revérai-je un jour?
Sais tu que la tristesse m'a habité
quand j'ai du te quitter...
Tant de souvenirs, des bons et des mauvais,
Tant d'amies que j'ai du quitter,
Mais je te le promet
Je reviendrai bientôt,
Avec encore plus de joie qu'avant
Car quel plaisir cela va être
de te retrouver!

Magnifique Aurane bravo!

aurane0412 a écrit :

lilouchien11 a écrit :

aurane0412 a écrit :

et voici un autre poeme mais cette fois sur ma ville de naissance

Cannes, toi qui m'a logé
Qui m'a abrité
toi a qui j'ai confiée tout mes secrets
Te revérai-je un jour?
Sais tu que la tristesse m'a habité
quand j'ai du te quitter...
Tant de souvenirs, des bons et des mauvais,
Tant d'amies que j'ai du quitter,
Mais je te le promet
Je reviendrai bientôt,
Avec encore plus de joie qu'avant
Car quel plaisir cela va être
de te retrouver!

Magnifique Aurane bravo!

merci ♥

'Lut!
Vous avez tous un petit talent, dis donc! Vous êtes tous bien fortiche.
En se qui me concerne, voici le chapitre 3 de mon histoire:

Chapitre 3:
Je frappe à la porte de sa classe.  Il n'était peu être pas là? Beaucoup de profs sortaient manger en dehors de l'école. Et comme on dirait que celui ci cherche à s'intégrer... J'essaye une dernière fois, mais en vain. Je décide donc de partir manger avec Lucie et Jason, qui devaient m'attendre depuis un moment.
J'allais les rejoindre, quand je vois le prof derrière moi. Plutôt grand, il fait flipper! J'ai d'ailleurs failli pousser un de c'est cris dont Lucie à le secret.
-Tiens, mais ce ne serai pas... Emy, si je ne me trompe?
-Euh... Oui, Monsieur.
-A, très bien! Pourquoi donc venir me voir?
-Je... je...
C'est vraie, pourquoi suis-je donc venue ici?!
-Tu ne le sais pas? Moi si. Suis moi.
Houla, il croit que je vais le suivre? Il se doute même pas que je ne vais pas venir? Mais c'est que le pire, je le suis.
Il m'entraîne le bâtiment principal de l'école. Il me fais monter jusqu'au toit, avant de fermer la porte à clé. Avec un frisson, je regarde autour de moi. Le vide. J'aime pas le vide. J'ai les jambes qui tremblent bien fort, la tête qui tourne et une grande envie de partir. M. Armo, lui, avait l'air détendue, calme. Il m'invite a m’asseoir sur le sol gris et froid tu toit.
Une fois que nous fûmes assis, il commença à parler:
-Ma chère Emy, si je t'ai emmener ici, c'est que je savais que tu voudrais me voir. Mais pour quoi? Tu n'as pas vraiment compris pourquoi ton subconscient t'a attirer vers moi.
-S'il... s'il vous plaît, ne partez pas dans des phrases alambiquer où on y comprend rien! Je suis déjà pas très rassurer.
-Très bien, je vais faire court. En gros, si tu as voulut venir me voir, c'est que au fond de toi, tu sais que tu es spécial.
-A oui? Mais ne vous inquiétez pas pour si peu! Je sais que je suis spécial. Qui d'autre se serai endormit pendant le cour de la Duck?
-Je ne parlais pas de ça, Emy. Je parlais de ton passé.
-Et il vient faire quoi celui là?
-Tu sais que notre nation à aux départ que 10 familles pour se battre contre Jourd Kleston?
-Seulement 10?!
-Laisse moi terminée. Comme il existe 10 familles, il existe 10 descendants directs.
-A bon?
-C'est 10 descendants sont éparpiller dans tout le pays. Je fais partit d'une association qui les recherches. Nous en avons déjà trouver 8. Il nous en manque 2. Et l'un des 2, c'est toi.
-Moi!? Et tu sais ça comment?
Sans m'en rendre compte, j'avais commencer à le tutoyer. Mais c'est quoi se prof à la con!? C'est un gars qui veut me faire gober n'importe quoi pour m'enlever?
-Oui, toi. Je peux te montrer toutes nos recherches si tu le souhaites.
-Mouais, elle pu ton histoire. Fais voir la paperasse.
Il sortit des tas de feuilles de papiers de sa poche. Dessus était coller pleins d'articles de journaux, des notes par-ci par-là, et encore d'autres anecdotes. L'écriture était illisible et il semblait que plusieurs personnes est travailler sur ce bout de papier. Je décide de le garder. M. Armo n'a pas l'air d'être contre.
-Alors? Demande-il. Tu me crois ou pas?
Je suis coincée. Si je lui que non, si il doit m'enlever, il le fera de force. Au contraire, si je répond oui, je devrais pouvoir mieux m'en sortir.
-Oui, je te crois. Et ça change quoi?
Il me fit un grand sourire.
-Tout, me dit-il. Tout.




Voilà!
Je vous remet le début en spoiler:

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Prologue:
Dans une époque lointaine, la vie se déroulait normalement. Les maisons avait une cheminé, des fauteuils, une table, des chaises. L'extérieur était fait de rues pavées, se trouvant dans des villes ou villages. Ces villes ou villages se trouvait dans des pays, ces pays dans le monde. Tout était normal, dans un Moyen-âge normal. Bref, rien de particulier, mis à par que l'argent n'existait pas. Oui, dans cette vie, n'importe qu'elle travail ne rapportait rien. On travaillait pour le plaisir de travailler. Même le troc en était interdit. On se servait dans les magasins, on avait tout à volonté, et la pauvreté n'était pas.
Mais un jour, un homme appeler Jourd Kleston, se plains qu'il voulait quelque chose en échange de son travail. Tout le monde lui disait: mais regarde, tu as la vie! Pourquoi veux-tu plus?
Mais Jourd avait soif de pouvoir, et commença à réunir un petit clan qui se plaignait de la même chose. Petit à petit, un mouvement se créa, avec Jourd à sa tête. On aurait appeler cela une révolution, même si ça n'y ressemblait pas vraiment. Car en effet, puisque l'argent n'existait pas, personne n'avait vue nécessité de crée un gouvernement. Ce fut à cause de ça que Jourd gagna en puissance, agrandissant son camp de jour en jour, jusqu'à ce qu'il arrive à être à la tête de son pays. Avec ses proches alliées, il instaura l'Argent.
Mais il ne fut pas le seul: dans les pays voisins, le mouvement se mettait en place, et pour confirmer son statue, Jourd envoya des armée à la conquête de ces fameux voisins. Il remporta bataille sur bataille, guerre sur guerre... Son pouvoir avait pris de l’ampleur, à un point qu'il pouvait se dire maître du monde.
Mais dans l'ombre, une organisation secrète agissait pour supprimer l'Argent. Il voulait que le monde telle qu'ils l'avaient connue revienne. Mais Jourd avait une emprise immense sur le monde, et cette organisation ne pu  faire grands choses. Alors, ces hommes et ces femmes décidèrent de passer un Pacte avec Jourd: il restait à la conquête du monde qu'il avait crée si il leur permettait de se crée un royaume où les règles d'avant serai appliquer. Ils ne prendraient que peu de terrain et ils lui laisseraient le reste. Mais il y avait une condition: que Jourd ne les attaque pas. Puisque eux ne comptait pas toucher à ses terres...
Jourd accepta ces conditions, mais les déroba par la suite. Il lança une armée à l'assaut de ce pays en naissance. Hommes et femmes se battirent, et tuèrent nombres d'ennemies. Et à chaque ennemie mort, sur lui, on trouvait des pièces, de l'Argent.
Mais ceux qui les ramassaient savaient que si ils le gardaient, ils pourrait devenir riche! Alors, là bas, il devint rituelle que chaque soir, l'Argent sera partager entre chaque soldat. Le seul métier qui rapportait de cette Argent était le combat.

Nous ne connaissons pas la suite de notre histoire, les écrit se trouvant dans la Bibliothèque Du Passé, qui, comme vous le savez tous, à brûler il y a bien longtemps. Nous avons donc une période de vide dans notre passé, qui se situe durant à peu près toute la période de l'évolution de notre nation. Donc, personne ne sait pourquoi nous vivons désormais dans se rituel de vie, se métier presque exclusif.

N'est ce pas, Emy?


Chapitre 1:
-N'est ce pas, Emy?
Toute la classe éclata de rire. Tous, sauf moi, bien évidement, qui sortait éberluer de mon sommeil. Cette prof n'avait donc aucun cœur? M'empêcher de dormir!
-Emy? Puisque vous ne répondez pas, j'imagine que votre rêve est donc plus important. Pour quoi ne pas nous le racontez?
Tiens, pour une fois, cette vieille bique viens d'alimenter mon imagination. Car en effet, mon rêve était plus intéressant que son cour stupide que tout le monde connaît par cœur. Je décide donc de reposer tranquillement ma tête sur la table en bois brute et me glisse tout doucement dans mon monde...

-Emy, t'as fait fort! T'endormir dans le cour de Mme. Duck! Chapeau! N'empêche que t'as du cran. Tu te rend compte? Tu es l'une des premières à défier cette horrible prof!
-Merci, Lucie, mais tu sais...
-Tiens tiens, mais c'est notre héroïne du jour! Alors, t'as écoper de quoi comme punition?
Jason pose son sac à côté des marches. Nous sommes en récré, et nous nous trouvons à notre lieu de squatte favori. Il s'agit de trois marches d'escaliers qui mène à une des dix salles de cours abandonner. Personne n'aimait venir là, se qui nous arrangeait, moi et mes potes.
Lucie et moi nous trouvions assise, et Jason resta debout à côté de nous.
-Oui, c'est dingue, hein! Emy, elle en a du cran!
-C'est bon, Lucie, j'avais compris, je suis la star d'aujourdui! Mais s’il te plaît, épargne moi tes espèces de cris de top model!
Jason éclate de rire. Il allait mettre l'huile sur le feu, comme à son habitude, mais la sonnerie l'en empêcha. Au lieu de ça, il cracha:
-'Tain, pourquoi y a toujours cette sonnerie pour nous rappeler à l'ordre!? Y nous prenne pour des chiens ou quoi!?
-Non Jason, répondis-je. Il ne nous prenne pas pour des chiens, mais pour des bestioles, nuance. Les chiens, on les siffle, certes, mais c'est pour l'emmener dehors ou le câliner. Les bestioles, ça  s'élimine, comme ce qu'ils essayent de faire.
Cela n'a pas l'air de faire la différence, et Jason commence à partir de son côté.
-Qu'est ce qu'il a? Demandais-je.
-Au rien, dit Lucie. Je crois juste qu'il a cour d'histoire, et vue comment t'as mis la prof de mauvaise humeur...
-Ouai, ça va, moi j'ai cour de vie...
-Tu parles! Moi, c'est les maths. Et qu'elle horreur! Au fait, tu savais que...
-C'est bon, Lucie. Oui, je sais tout déjà, vue à qu'elle vitesse tu racontes tes anecdotes!
-Bon ba ok... Bonne chance, parais que le remplaçant, c'est une vraie tête de nouille!
Voilà qui rassure. Surtout que ce remplaçant à du entendre parler de ma folie de ce matin, ce qui allait encore plus mettre la pression.
Allez, hop, je file en classe, je suis déjà à la gourd!


Chapitre 2:
-Bonjour, je suis le remplaçant de votre professeure de vie, qui est à la normal Mme. Porto. Je suis M. Armo, et c'est moi qui assurerait ses cours à sa place pendant... Je pense deux mois.
Pourri. D'habitude, tout le monde adorent les cours de vie. Mais avec ce prof, ça allait être galère. Si le prof est chiant, et que de plus il remplace la meilleure du collège... Notre vie à tous est, hum, comment dire? De la merde.
-Bien. Je préfère vous replacer moi-même, pour avoir de meilleur repère.
De toute évidence, ce prof avait déjà prévue un plan de classe qu'il avait du apprendre par cœur. 
-Alors, sur le bureau devant moi... Harry. Et à sa droite... Emy!
J'avais dit que c'était galère? Nan, bien sur... Tu veux dire la mort assurer, oui!
Harry est un garçon détestable au pas possible. Si on devait faire une histoire sur moi, ce serai sûrement lui le méchant! Car si je devais faire la liste de toutes les crasses qu'il m'a faite...! Et ba j'ose pas, la liste est VRAIMENT trop longue.
Bref, Lucie avait raison, ce prof, c'est un prof pourri.
Pendant que tout les autres furent placer, Harry me lança:
-Hey, c'est une signe du destin ça! Un nouveau prof qui ne nous connaît pas et qui nous place côte-à-côte...
A, j'ai peu être pas parler du plus important: la pire chose qu'est pu faire Harry, c'est de vouloir sortir avec moi. Et à vrai dire, ce n'est pas moi qu'il fait chier, c'est Jason! C'est juste que je suis dans le camp de mon ami.
-Te fait pas d'illusion. Toi et moi, y a aucune chance que...
-Bien, repris le prof. Taisez-vous. Je vais, avant de vous parlez de la suite du programme, vous expliquez les bases et notre but lors de ce cour de vie.
Soupir d’exaspération dans la classe. Tout le monde connaissaient les bases!
-Alors, notre histoire à comme vous savez, un «trou», qui commence à la fin de La Guerre De L'Argent, jusqu'à il y a 100 ans. Entre temps, personne sait pourquoi notre seul métier est devenue le Combat. Sauf, bien sur, en ce qui concerne le gouvernement et l'enseignement. Pour le reste, se sont des robots qui s'occupe de tout. Maintenant, je vais vous parlez du vif du sujet.
Nouveau soupir. Mais ce type nous prenait pour des incultes ou quoi!?
-D'abords, comment marche le Combat. Avant chaque Combat, chaque personne mise une somme d'Argent plus ou moins importante. Mais il y a une limite! On ne peut pas miser moins de 100, comme on ne peu pas miser au dessus de 300. Ensuite, on se bat, jusqu'à ce que l'un se face touchez par l'autre. Celui qui se fait toucher donne sa somme d'Argent miser à l'autre. Voilà comment se déroule un Combat. Mais comment savoir qui sont plus forts que d'autres? En faite, chacun est classé. Il y a dix paliers de puissances. Plus on est dans un palier élever, plus cela implique que nous possédons une force supérieur. Qui peu me dire qu'elles sont ces paliers?
Ok, maintenant, après nous avoir bien abrutit, il pense qu'on va lui donner les réponses sans tiquer! Tout le monde est de mon avis sauf bien sur:
-Oui Harry?
-Du plus faible au plus fort: Œuf/Poussin/ Poule/Coq/Lapin/Renard/Cerf/Loup/Aigle/Chasseur.
-C'est ça. Bien sur, tout le monde vise le statut de Chasseur. Mais avant tout, surtout avant de pouvoir combattre, il faut être former. C'est pour ça que vous allez à l'école jusqu'à vos 15 ans. Nous vous préparons, en quelque sorte, mais votre véritable apprentissage commence après cette école que vous connaissez, il commence lorsque vous intégrez une guilde. Une guilde, c'est là où on vous apprend à vraiment maîtriser le Combat. Vous verrez, cette apprentissage, c'est magique!
Super, en plus d'avoir un prof idiot, on a un prof taré!
Sonnerie. Tout le monde se lève dans la précipitation, surtout moi, qui avait envie de partir d'ici au plus vite! Harry polluait mon air plus que personne ne peut le penser.

Le cour de langue passa vite fait bien fait, et on arriva enfin à la pose déjeuner. Comme d'habitude, j'attendais Jason et Lucie à notre coin favoris. Ce fut Jason qui arriva le premier.
-Alors, ce cour d'histoire?
-Vive les vieilles biques!
-Ça veut tout dire.
Lucie arrive, après un long retard habituelle.
-Me voili voilou! Alors? Houla, vous tirez une de ces têtes! Bon, aller, j'ai faim! En plus, il paraît qu'il y a des frites ce midi! Grouillez-vous!
Cela fait tiquer Jason.
-Tiens, des frites? Aller, hop-hop! On se bouge les limaces!
Bizarre, Jason a retrouver sa bonne humeur.
-Commencer à y aller, je vous rejoins bientôt.
Sans me contre-dire, ils me laissent tranquille et partent manger. En les regardants de loin, on aurait dit qu'ils sortaient ensemble. Très complices, ils passent leurs temps à se faire des blagues, mais je les trouve souder. Ensuite, pourquoi ai-je voulu rester seule? J'ai toujours aimer la solitude, mais bon, quand même...
Puis le remplaçant du cour de vie me reviens à la tête. Sur le coup, je l'ai trouvé taré, mais là... Plus je réfléchis, chose que je fais rarement, plus j'ai l'impression qu'il y a avait un sous entendu. Quand il a parler d'un truc magique et blabla, il y a eu un dé-clique en moi. Faut que j'aille lui parler.

Coucou les shocobons!
j'ai fait un poème sur mon ordinateur:

Piano électronique

Mes doigts, parcourus d'un long frisson,
Effleurent tes touches, cherchent ton horizon;
Il jouent leur mélodie à qui nulle autre n'est pareille,
La peau s'écorche se casse,tes notes deviennnent vermeilles

Mes yeux riivés sur ton écran électrique,
Te survole en une valse magique;
Mes prunelles coulent, mes yeux se brouillent,
Cela fait une heure que je joue, que je te fouille,

Mes oreilles ancrées dans ta mélodie
Tip tap tip tap, Quelle symphonie
Je te parle tu me reconnait à toute les heures
Now, you are my computer.....

adore : J'aime bien c'est sympa mise à part de quelque fautes d'orthographe , aussi ' fouille' ça désigne quoi ?

Des avis sur ma chanson :

1ér titre : maman 2éme titre :Quand

Quand elle s'en va
on à tous le cœur qui bas
Plus ou moins fort
Dans toute l'entre de notre corps !

Notre cœur ne se sens plus
Notre vie est perdu....hu hu...
Notre rêve s'envole d'un coup
Houhou...notre vie se met à bout....mh..mh...

Quand , elle reviens..
on se sent bien....
Quand , elle repart
Il fait tout noir

Refrain :

mais je part moi aussi...
La chercher derrière l'horizon
Je m’en vais combattre ma vie
mon destin et mon opignon


...suite la prochaine fois [ ma chanson est très longue ]

Aaliwan a écrit :

'Lut!
Vous avez tous un petit talent, dis donc! Vous êtes tous bien fortiche.
En se qui me concerne, voici le chapitre 3 de mon histoire:

Chapitre 3:
Je frappe à la porte de sa classe.  Il n'était peu être pas là? Beaucoup de profs sortaient manger en dehors de l'école. Et comme on dirait que celui ci cherche à s'intégrer... J'essaye une dernière fois, mais en vain. Je décide donc de partir manger avec Lucie et Jason, qui devaient m'attendre depuis un moment.
J'allais les rejoindre, quand je vois le prof derrière moi. Plutôt grand, il fait flipper! J'ai d'ailleurs failli pousser un de c'est cris dont Lucie à le secret.
-Tiens, mais ce ne serai pas... Emy, si je ne me trompe?
-Euh... Oui, Monsieur.
-A, très bien! Pourquoi donc venir me voir?
-Je... je...
C'est vraie, pourquoi suis-je donc venue ici?!
-Tu ne le sais pas? Moi si. Suis moi.
Houla, il croit que je vais le suivre? Il se doute même pas que je ne vais pas venir? Mais c'est que le pire, je le suis.
Il m'entraîne le bâtiment principal de l'école. Il me fais monter jusqu'au toit, avant de fermer la porte à clé. Avec un frisson, je regarde autour de moi. Le vide. J'aime pas le vide. J'ai les jambes qui tremblent bien fort, la tête qui tourne et une grande envie de partir. M. Armo, lui, avait l'air détendue, calme. Il m'invite a m’asseoir sur le sol gris et froid tu toit.
Une fois que nous fûmes assis, il commença à parler:
-Ma chère Emy, si je t'ai emmener ici, c'est que je savais que tu voudrais me voir. Mais pour quoi? Tu n'as pas vraiment compris pourquoi ton subconscient t'a attirer vers moi.
-S'il... s'il vous plaît, ne partez pas dans des phrases alambiquer où on y comprend rien! Je suis déjà pas très rassurer.
-Très bien, je vais faire court. En gros, si tu as voulut venir me voir, c'est que au fond de toi, tu sais que tu es spécial.
-A oui? Mais ne vous inquiétez pas pour si peu! Je sais que je suis spécial. Qui d'autre se serai endormit pendant le cour de la Duck?
-Je ne parlais pas de ça, Emy. Je parlais de ton passé.
-Et il vient faire quoi celui là?
-Tu sais que notre nation à aux départ que 10 familles pour se battre contre Jourd Kleston?
-Seulement 10?!
-Laisse moi terminée. Comme il existe 10 familles, il existe 10 descendants directs.
-A bon?
-C'est 10 descendants sont éparpiller dans tout le pays. Je fais partit d'une association qui les recherches. Nous en avons déjà trouver 8. Il nous en manque 2. Et l'un des 2, c'est toi.
-Moi!? Et tu sais ça comment?
Sans m'en rendre compte, j'avais commencer à le tutoyer. Mais c'est quoi se prof à la con!? C'est un gars qui veut me faire gober n'importe quoi pour m'enlever?
-Oui, toi. Je peux te montrer toutes nos recherches si tu le souhaites.
-Mouais, elle pu ton histoire. Fais voir la paperasse.
Il sortit des tas de feuilles de papiers de sa poche. Dessus était coller pleins d'articles de journaux, des notes par-ci par-là, et encore d'autres anecdotes. L'écriture était illisible et il semblait que plusieurs personnes est travailler sur ce bout de papier. Je décide de le garder. M. Armo n'a pas l'air d'être contre.
-Alors? Demande-il. Tu me crois ou pas?
Je suis coincée. Si je lui que non, si il doit m'enlever, il le fera de force. Au contraire, si je répond oui, je devrais pouvoir mieux m'en sortir.
-Oui, je te crois. Et ça change quoi?
Il me fit un grand sourire.
-Tout, me dit-il. Tout.




Voilà!
Je vous remet le début en spoiler:

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Prologue:
Dans une époque lointaine, la vie se déroulait normalement. Les maisons avait une cheminé, des fauteuils, une table, des chaises. L'extérieur était fait de rues pavées, se trouvant dans des villes ou villages. Ces villes ou villages se trouvait dans des pays, ces pays dans le monde. Tout était normal, dans un Moyen-âge normal. Bref, rien de particulier, mis à par que l'argent n'existait pas. Oui, dans cette vie, n'importe qu'elle travail ne rapportait rien. On travaillait pour le plaisir de travailler. Même le troc en était interdit. On se servait dans les magasins, on avait tout à volonté, et la pauvreté n'était pas.
Mais un jour, un homme appeler Jourd Kleston, se plains qu'il voulait quelque chose en échange de son travail. Tout le monde lui disait: mais regarde, tu as la vie! Pourquoi veux-tu plus?
Mais Jourd avait soif de pouvoir, et commença à réunir un petit clan qui se plaignait de la même chose. Petit à petit, un mouvement se créa, avec Jourd à sa tête. On aurait appeler cela une révolution, même si ça n'y ressemblait pas vraiment. Car en effet, puisque l'argent n'existait pas, personne n'avait vue nécessité de crée un gouvernement. Ce fut à cause de ça que Jourd gagna en puissance, agrandissant son camp de jour en jour, jusqu'à ce qu'il arrive à être à la tête de son pays. Avec ses proches alliées, il instaura l'Argent.
Mais il ne fut pas le seul: dans les pays voisins, le mouvement se mettait en place, et pour confirmer son statue, Jourd envoya des armée à la conquête de ces fameux voisins. Il remporta bataille sur bataille, guerre sur guerre... Son pouvoir avait pris de l’ampleur, à un point qu'il pouvait se dire maître du monde.
Mais dans l'ombre, une organisation secrète agissait pour supprimer l'Argent. Il voulait que le monde telle qu'ils l'avaient connue revienne. Mais Jourd avait une emprise immense sur le monde, et cette organisation ne pu  faire grands choses. Alors, ces hommes et ces femmes décidèrent de passer un Pacte avec Jourd: il restait à la conquête du monde qu'il avait crée si il leur permettait de se crée un royaume où les règles d'avant serai appliquer. Ils ne prendraient que peu de terrain et ils lui laisseraient le reste. Mais il y avait une condition: que Jourd ne les attaque pas. Puisque eux ne comptait pas toucher à ses terres...
Jourd accepta ces conditions, mais les déroba par la suite. Il lança une armée à l'assaut de ce pays en naissance. Hommes et femmes se battirent, et tuèrent nombres d'ennemies. Et à chaque ennemie mort, sur lui, on trouvait des pièces, de l'Argent.
Mais ceux qui les ramassaient savaient que si ils le gardaient, ils pourrait devenir riche! Alors, là bas, il devint rituelle que chaque soir, l'Argent sera partager entre chaque soldat. Le seul métier qui rapportait de cette Argent était le combat.

Nous ne connaissons pas la suite de notre histoire, les écrit se trouvant dans la Bibliothèque Du Passé, qui, comme vous le savez tous, à brûler il y a bien longtemps. Nous avons donc une période de vide dans notre passé, qui se situe durant à peu près toute la période de l'évolution de notre nation. Donc, personne ne sait pourquoi nous vivons désormais dans se rituel de vie, se métier presque exclusif.

N'est ce pas, Emy?


Chapitre 1:
-N'est ce pas, Emy?
Toute la classe éclata de rire. Tous, sauf moi, bien évidement, qui sortait éberluer de mon sommeil. Cette prof n'avait donc aucun cœur? M'empêcher de dormir!
-Emy? Puisque vous ne répondez pas, j'imagine que votre rêve est donc plus important. Pour quoi ne pas nous le racontez?
Tiens, pour une fois, cette vieille bique viens d'alimenter mon imagination. Car en effet, mon rêve était plus intéressant que son cour stupide que tout le monde connaît par cœur. Je décide donc de reposer tranquillement ma tête sur la table en bois brute et me glisse tout doucement dans mon monde...

-Emy, t'as fait fort! T'endormir dans le cour de Mme. Duck! Chapeau! N'empêche que t'as du cran. Tu te rend compte? Tu es l'une des premières à défier cette horrible prof!
-Merci, Lucie, mais tu sais...
-Tiens tiens, mais c'est notre héroïne du jour! Alors, t'as écoper de quoi comme punition?
Jason pose son sac à côté des marches. Nous sommes en récré, et nous nous trouvons à notre lieu de squatte favori. Il s'agit de trois marches d'escaliers qui mène à une des dix salles de cours abandonner. Personne n'aimait venir là, se qui nous arrangeait, moi et mes potes.
Lucie et moi nous trouvions assise, et Jason resta debout à côté de nous.
-Oui, c'est dingue, hein! Emy, elle en a du cran!
-C'est bon, Lucie, j'avais compris, je suis la star d'aujourdui! Mais s’il te plaît, épargne moi tes espèces de cris de top model!
Jason éclate de rire. Il allait mettre l'huile sur le feu, comme à son habitude, mais la sonnerie l'en empêcha. Au lieu de ça, il cracha:
-'Tain, pourquoi y a toujours cette sonnerie pour nous rappeler à l'ordre!? Y nous prenne pour des chiens ou quoi!?
-Non Jason, répondis-je. Il ne nous prenne pas pour des chiens, mais pour des bestioles, nuance. Les chiens, on les siffle, certes, mais c'est pour l'emmener dehors ou le câliner. Les bestioles, ça  s'élimine, comme ce qu'ils essayent de faire.
Cela n'a pas l'air de faire la différence, et Jason commence à partir de son côté.
-Qu'est ce qu'il a? Demandais-je.
-Au rien, dit Lucie. Je crois juste qu'il a cour d'histoire, et vue comment t'as mis la prof de mauvaise humeur...
-Ouai, ça va, moi j'ai cour de vie...
-Tu parles! Moi, c'est les maths. Et qu'elle horreur! Au fait, tu savais que...
-C'est bon, Lucie. Oui, je sais tout déjà, vue à qu'elle vitesse tu racontes tes anecdotes!
-Bon ba ok... Bonne chance, parais que le remplaçant, c'est une vraie tête de nouille!
Voilà qui rassure. Surtout que ce remplaçant à du entendre parler de ma folie de ce matin, ce qui allait encore plus mettre la pression.
Allez, hop, je file en classe, je suis déjà à la gourd!


Chapitre 2:
-Bonjour, je suis le remplaçant de votre professeure de vie, qui est à la normal Mme. Porto. Je suis M. Armo, et c'est moi qui assurerait ses cours à sa place pendant... Je pense deux mois.
Pourri. D'habitude, tout le monde adorent les cours de vie. Mais avec ce prof, ça allait être galère. Si le prof est chiant, et que de plus il remplace la meilleure du collège... Notre vie à tous est, hum, comment dire? De la merde.
-Bien. Je préfère vous replacer moi-même, pour avoir de meilleur repère.
De toute évidence, ce prof avait déjà prévue un plan de classe qu'il avait du apprendre par cœur. 
-Alors, sur le bureau devant moi... Harry. Et à sa droite... Emy!
J'avais dit que c'était galère? Nan, bien sur... Tu veux dire la mort assurer, oui!
Harry est un garçon détestable au pas possible. Si on devait faire une histoire sur moi, ce serai sûrement lui le méchant! Car si je devais faire la liste de toutes les crasses qu'il m'a faite...! Et ba j'ose pas, la liste est VRAIMENT trop longue.
Bref, Lucie avait raison, ce prof, c'est un prof pourri.
Pendant que tout les autres furent placer, Harry me lança:
-Hey, c'est une signe du destin ça! Un nouveau prof qui ne nous connaît pas et qui nous place côte-à-côte...
A, j'ai peu être pas parler du plus important: la pire chose qu'est pu faire Harry, c'est de vouloir sortir avec moi. Et à vrai dire, ce n'est pas moi qu'il fait chier, c'est Jason! C'est juste que je suis dans le camp de mon ami.
-Te fait pas d'illusion. Toi et moi, y a aucune chance que...
-Bien, repris le prof. Taisez-vous. Je vais, avant de vous parlez de la suite du programme, vous expliquez les bases et notre but lors de ce cour de vie.
Soupir d’exaspération dans la classe. Tout le monde connaissaient les bases!
-Alors, notre histoire à comme vous savez, un «trou», qui commence à la fin de La Guerre De L'Argent, jusqu'à il y a 100 ans. Entre temps, personne sait pourquoi notre seul métier est devenue le Combat. Sauf, bien sur, en ce qui concerne le gouvernement et l'enseignement. Pour le reste, se sont des robots qui s'occupe de tout. Maintenant, je vais vous parlez du vif du sujet.
Nouveau soupir. Mais ce type nous prenait pour des incultes ou quoi!?
-D'abords, comment marche le Combat. Avant chaque Combat, chaque personne mise une somme d'Argent plus ou moins importante. Mais il y a une limite! On ne peut pas miser moins de 100, comme on ne peu pas miser au dessus de 300. Ensuite, on se bat, jusqu'à ce que l'un se face touchez par l'autre. Celui qui se fait toucher donne sa somme d'Argent miser à l'autre. Voilà comment se déroule un Combat. Mais comment savoir qui sont plus forts que d'autres? En faite, chacun est classé. Il y a dix paliers de puissances. Plus on est dans un palier élever, plus cela implique que nous possédons une force supérieur. Qui peu me dire qu'elles sont ces paliers?
Ok, maintenant, après nous avoir bien abrutit, il pense qu'on va lui donner les réponses sans tiquer! Tout le monde est de mon avis sauf bien sur:
-Oui Harry?
-Du plus faible au plus fort: Œuf/Poussin/ Poule/Coq/Lapin/Renard/Cerf/Loup/Aigle/Chasseur.
-C'est ça. Bien sur, tout le monde vise le statut de Chasseur. Mais avant tout, surtout avant de pouvoir combattre, il faut être former. C'est pour ça que vous allez à l'école jusqu'à vos 15 ans. Nous vous préparons, en quelque sorte, mais votre véritable apprentissage commence après cette école que vous connaissez, il commence lorsque vous intégrez une guilde. Une guilde, c'est là où on vous apprend à vraiment maîtriser le Combat. Vous verrez, cette apprentissage, c'est magique!
Super, en plus d'avoir un prof idiot, on a un prof taré!
Sonnerie. Tout le monde se lève dans la précipitation, surtout moi, qui avait envie de partir d'ici au plus vite! Harry polluait mon air plus que personne ne peut le penser.

Le cour de langue passa vite fait bien fait, et on arriva enfin à la pose déjeuner. Comme d'habitude, j'attendais Jason et Lucie à notre coin favoris. Ce fut Jason qui arriva le premier.
-Alors, ce cour d'histoire?
-Vive les vieilles biques!
-Ça veut tout dire.
Lucie arrive, après un long retard habituelle.
-Me voili voilou! Alors? Houla, vous tirez une de ces têtes! Bon, aller, j'ai faim! En plus, il paraît qu'il y a des frites ce midi! Grouillez-vous!
Cela fait tiquer Jason.
-Tiens, des frites? Aller, hop-hop! On se bouge les limaces!
Bizarre, Jason a retrouver sa bonne humeur.
-Commencer à y aller, je vous rejoins bientôt.
Sans me contre-dire, ils me laissent tranquille et partent manger. En les regardants de loin, on aurait dit qu'ils sortaient ensemble. Très complices, ils passent leurs temps à se faire des blagues, mais je les trouve souder. Ensuite, pourquoi ai-je voulu rester seule? J'ai toujours aimer la solitude, mais bon, quand même...
Puis le remplaçant du cour de vie me reviens à la tête. Sur le coup, je l'ai trouvé taré, mais là... Plus je réfléchis, chose que je fais rarement, plus j'ai l'impression qu'il y a avait un sous entendu. Quand il a parler d'un truc magique et blabla, il y a eu un dé-clique en moi. Faut que j'aille lui parler.

Voili voilou!

Aaliwan

Salut les cro-poètes

Any-la-chipie: "te fouille" signifie rechercher
ta chanson est très belle continue!

'Lut!
Vraiment aucun avis sur mon histoire?

Aaliwan

vous avez TOUS du talent!!!!!! Bravo!!!!!!!!

voici un p'tit poème comme d'hab':

tu es une étoile infinie qui brille dans la galaxie.
Ou alors un soleil éternel qui vit là-haut dans le ciel.
Ou encore un nuage qui vole dans les parages.
Ou bien ma meilleure amie qui est avec moi pour la vie.
Ou bien encore une fille en or qui s'appelle Soraya toujours là pour moi et qui remplit mon coeur de bonheur.Pour toi ma best friends forever.

donner moi vos avis svp

Dernière modification par Marie-zoe (Le 19-08-2012 à 13h26)

Marie-zoe a écrit :

vous avez TOUS du talent!!!!!! Bravo!!!!!!!!

voici un p'tit poème comme d'hab':

tu es une étoile infinie qui brille dans la galaxie.
Ou alors un soleil éternel qui vit là-haut dans le ciel.
Ou encore un nuage qui vole dans les parages.
Ou bien ma meilleure amie qui est avec moi pour la vie.
Ou bien encore une fille en or qui s'appelle Soraya toujours là pour moi et qui remplit mon coeur de bonheur.Pour toi ma best friends forever.

donner moi vos avis svp

Sympa! Mais ne va pas trop vite, et fait en sorte que tout reste compréhensible.

Chapitre 4:
-Voilà, vous savez tout.
J'avais décidé de tout raconter à Lucie et Jason, qui me regardèrent déconcerter.
Nous étions au self. Bien loin du toit de l'école où j'ai cru que mon sort allait être jeter. Il m'a bien fait flipper, le remplaçant. Je suis sur que c'est quelqu'un qui enlève les enfants. Ce soir, j'irai voir la police. Enfin, c'est ce que j'avais dit à mes amis, mais j'ai l'impression que ceux là ne me croit pas.
C'est Jason, après avoir tirer une tête de six pieds de long, qui reprend la conversation en main.
-Ok... Euh... Ah... ahahahah, qu'elle humour! A chaque fois, Emy, tu te surpasses! N'est ce pas Lucie?
-A euh... qui, moi? A oui, ahahah bravo Emy!
-Nan mais vous me prenez pour une conne ou quoi!? Je ne vous ment pas!
-O... Ok, on te crois mais... commença Lucie.
-Mais on ne comprend pas, termina Jason.
-Mais c'est pourtant clair! Ce prof veut m'enlever!
Jason et Lucie se regardent avant de se tourner vers moi. Ça pipe plus mots.
Je décide de partir, comprenant que quoi que je puisse dire, ils ne me croiront jamais.
-Vous savez quoi? Dis-je en partant. Je vous pensais plus sympa!
Lucie avait une tête qui donnait l'impression qu'elle était outrée. Jason ne dit rien.

Je suis maintenant en cour, de math, pour être précise, et j'essaye de résoudre un équation vachement compliquer. Je dois le faire avec Jérémy, une vraie tête d'ampoule qui n'a pas besoin de mon aide. Du coup, au final, mes pensées se dirigeaient vers ce qui c'est passer ce midi. En premier, ma rencontre avec M. Armo, qui était vraiment étrange. Mais je le sens bien. Bizarrement, plus j'y pense, plus je me dis que M. Armo a peu être raison. Mais je pense aussi à Lucie et Jason avec qui je suis peu être aller un peu fort. De toute façon, je le verrai bien. Si ils sont là à la récré ou pas.
-Bon, tu te mets au travail oui ou quoi!?
Tiens, l'intello se réveille!
-Nan, je réfléchis sur une question existentiel.
-A oui? Parce que tu crois que la prof elle va être d'accords avec toi?
Je le regarde avec des éclairs dans les yeux.
-Parce que tu crois que, après la Duck, je vais avoir peur de celle-là!?
Il frémit. Cool, on dirait que je fais mon effet. C'est bien le seul truc que cette horrible prof d'histoire est fait de bien dans ma vie. Le reste, on pourrait dire qu'elle a un style à la... Harry.
Sonnerie. Encore une heure d'art et c'est la récré. Lucie et Jason vont être à notre coin habituelle? Perso, je flippe. Ce coup là, je le sens pas.
En cour d'art, je suis à côté d'une fille appeler Alison. Je l'ai toujours trouvée un peu bizarre. Elle ne parle à personne. Sauf que cette fois, elle décide de m'adresser quelques mots:
-Je lis dans tes yeux qu'il t'en à parler. Tu as accepter? Si j'étais toi, je le ferai.
Ok, en plus d'être muette, enfin, quasi-muette, elle est tarée. Et ba tiens, je suis bien entourer!
Pourtant, Alison a dit un truc qui a percuter dans mon esprit. Elle m'a parler d'un choix. Et j'ai un choix à effectuer en se moment même! Enfin, elle a pas vraiment dis le mot «choix», mais ce qu'elle voulait exprimer allait au même. Serait-elle au courant pour ce que m'a dit M. Armo? Il faudra que je lui en parle. D'ailleurs, je sais comment faire. Je me glisse vers elle et lui murmure à l'oreille:
-Attend moi à la sortit des cours. Il faut que je te demande un truc.
En guise de réponse, elle me fit un petit sourire.
En attendant la sonnerie, je me dis que finalement, peu être que le remplaçant avait raison.


Voilà la suite!

Aaliwan

Moi je ne rime pas (et je fait un paket de fautes , désolée d'avance !) mais j'écris et j'ai besoin d’avis ( objéctifs si c'est pas trop demander ), merci !   L'histoire n'a pas de nom et je vous met le prologe et le premier chapitre (sinon c'est trop long, et je l'ai pas fini ^^)

prologe

   "Cher journal, en se 28 aout, je peux officiellement dire que j'ai passé la pire journée de ma vie. Elle est même passée devant celle ou je me suis prise 3 heures de cole à cose de Mérédithe ! Ce n'est pas rien !
  Ca a été une veritable sucsétion de catastrophes. Déjà, je me suis faite viré du café ( il falait renvoyer un employer à cose de restriction de budjet ou un truc du genre, et, biensur, c'est tombé sur moi !) En l'aprenant, les filles m'ont mises dehors, mais à coup de pied au cul. Elles m'ont dit cashe : si tu paye pas ta part du loyer, tu dégage ! Et c'est moi qu'on accuse de dire les choses cruement ! En même temps je les comprend, payer un loyer pour un apparte parisienne, c'est dure même à quatre !
   Donc, ça, sa c'est passé avant 13h30. Après, il y a l'apré-midi : AFREUSE !!! Quand les filles m'ont "aimablement" demandé de partire, j'ai appellé ma mère pour lui demander si je pouvais revenir. Honte de ma vie. Après se qui c'est passé, c'était vraiment supère embarassent ... Et sa réaction déplacée. Elle a fait comme si je l'appellais tout les jours, sauf que ça fait 2 ans que je ne lui avait pas parlé ! Elle a accepté que je revienne jusqu'à la fin de mes étude et /ou que je trouve un logement.
    Jusque là, tous se passe plutôt pas trop mal ... enfin, j'entissipe quoi. Mais cette s**ope de Morgane est allée prévenir Max que je partais. Cet imbécile fini a fait la chose la plus bète et la plus dépourvue de style du monde : il a rompu par SMS. Quand j'ai reçue son message, j'ai eu envie qu'il soit là, en face moi, pour que je puise lui enfoncer mon portable ou je pense ! Je ne lui ai pas répondue et l'ai lessé se débrouiller avec mon silence. Si il ne comprend pas tampis pour lui.
   Voila, en gros, ma journée. C'est pas très gai à première vue, mais, en prenent du recule, sa à reglé la plus part de mes problèmes : je n'aurrais plus à suporter Morgane, Gladisse, et Agathe, se qui est déjà plutôt pas mal, et je n'aurrais plus à fair à manger tout les soires, sans compter le fait que je n'aurrais plus à voire Max baver sur les filles du licée . En fait, j'ai plutôt à y  gagner.
   Je doit dormir, il est quand même 23h18, et il faut que je parte tôt demain, si non maman va faire une crise d'engoise. Alors, la Twingo est chargée et je pense ne rien avoire oublié, mon journal est là et je penserrais à prendre mon portable. GOOD NIGHT !
BIZZ, Alex !"

Chapitre 1

   Je ferma mon journal dans un bruissement de papier et le glissa sous mon oreiller. Me dire que demain matin, je devais partir ressemblait à une mauvaise blague. Maleuresement, ce  n'en était pas une, et, au contraire, c'était la dure réalité. A cet instent mon ciel était si noire que je persevais le moindre petit rayon de soleil. En locurence, un des rayons de soleil qui réussissait à persser l'épaisse couche de nuage planant au dessus de moi, c'était lui. 
   Vaincent.
   Ce nom me revenait comme une melodie d'enfance que j'avais juque là oublié. Mon petit frère.
   Je ne l'avais plus revue depuis trois longes années et les souvenir que je gardais de lui etaient ceux d'une petite fille légèrement perturbée qui n'apportait pas la moindre importence aux personnes qui l'entourraient. Je me rappellais tout de même de lui comme d'un petit blond aux yeux azures, discète et réservé. J'avais hate de le revoire, mais me refusa à y penser de peure de me fair de fause idées et d'ètres dessue.
   J'essaya de me changer les idées en penssen au licée. A Lili (mon ancienne meilleur amie que j'allais retrouver).  A ma mère. Mais tout me ramennait à lui. Il était dans tout mes souvenires comme une ombre, un fantome, mais bien present.
   Je fini par m'endormir, vers minuit et demi, son image en tête.

   La nuit me sembla courte. Beaucoup trop à mon gout. Je me leva à grands regrets et regarda l'écrant de mon portable. Vous avez 1 nouveau message, indiquait-il. Je posa le portable sur la couette en me redressant et sauta du haut du lit supèreposé. Agathe émit un petit son et se retourna dans le lit en dessous du mien. je regarda les lits de Morgane et Gladisse, mais Morgane n'était pas là. J'était tellement peu réveillé que je ne m'en rendis pas compte tout de suite.
   Je me dirigea vers notre boite a chaussure comportent un bac à douhe et un lavabeau que l'on osaient appeler "salle de bain". J'enfila un sweat et un jean gris, fit ma toilette et ne me maquilla pas. Pas seulement parce que ma mère n'aimait déjà pas que je me maquille avant, mais parce que j'étais emprise à un grand coup de bleus. Etrangement, je me brossa les dents. Ne voulant pas avoire à recommencer, je renonça au p'tit dej' pour aujourd'hui.
   Machinalement, je me dirigea vers la mini-cuisine. J'abitais dans une maison Barbi. Et pas seulement parce que l'aparte faisait tout au plus 25 mètres carré, mais parce que Gladisse, quands elle était dans son délire "rose", avait tapé une crise pour reffaire l'apparte. Et deviner en quel couleur elle la refait ... en rose ! Mais tout est rose : le sol, recouvert de moquette rose, les murs, c'est pareille, sur les tables des napes roses, les rideaux sont rose et elle a même pain les toilettes en rose bonbon ! Pour quelle arrete son petit caprise, on a convenue, avec les filles, que soit elle qui nétoi sa moquette - et le reste. Je n'ai pas compté le nombre de fois ou je me suis demandé si je n'aurais pas préféré  faire le ménage plutôt que d'ètres éblouie dés que je rentre du licé par du rose fluo. Gladisse a reussi à me dégouter de cette couleur.
   Dans la mini-cuisine il y avait du café pret. Si Morgane était déjà debout, c'était normal, mais à ce moment, je n'avais pas encor tilté qu'elle était réveillée donc cela me parrut bizzar.

   Je ne réfléchi au fait que, un, Morgane était réveillée et, deux, qu'elle n'était de toute évidance plus là - il aurrait fallut être stupide pour ne serraice que pensser à la possibilité de ne pas se croiser dans ce mini-appartement -, que quand je fut assise dos à la porte, entrain de lasser mes NIKE bleu et blanche. Je me redressa et apuilla ma tête contre la porte. Après tout je m'en tape de se quelle peut faire le matin, me dis-je en regardent la moquette tapissant murs et sols. Mes yeux se poserrent sur l'ordinateure portable de Gladisse. Portable,  repaitais-je dans mon esprit, P-O-R-T-A-B-L-E. Un déclique se produit : j'avais totalement oublier mon portable, et, par la même occasion, mon journal.
   Je courus jusqu'à la chambre, manquant de me casser la figure à un angle du couloire - les NIKE glissent très bien sur la moquette. J'ouvris doucement la porte, nayant aucune envie de réveiller l'une des filles. Je gravis rapidement l'échelle, atrappas portable et journal et les glissa dans la poche de mon sweat. Oublier quelque chose, c'est fait, pensais-je en sautant du haut du lit, le récupperrer aussi. Je ne flechis pas les jambes en aterrissent, et produisi un bruillent bam. Agathe se retourna et un instent je crue qu'elle allait se réveiller. Elle refermat les yeux et se retounat de nouveau.

   Je me sentais emprisonnée dans les ascanceurs - et sa ne dattait pas d'hier, j'en ai toujours eu horreure. Sentiment emplifié par cette journée ... sinistre. J'antendis un petit ting, voulant dire que j'étais arrivé en bas. Je sorti en trombe quand les portes de metale souvrirent. Dehors, il pleuvait des cordes, je ne me pressa pas pour autent de regouindre ma Twingo. J'ouvris la portiere et me glissa à l'interieur de la petite voiture blanche. Mes yeux se posairrent sur la fascade de l'immeuble où j'abittais - mais cela me semblait loing. Troisème fenaitre en partent de la gauche, quatrième étage, réçitais-je dans ma tête. Je ne saurais dire combien de temps je suis rester ainsi, à regarder cette fenaitre. Mais je sais que c'est un violent éclaire qui me sortie de ma torpeurre.
   Le mini-appartement se trouvait dans une petite ville à environ 20 kilomêtres de Paris - mais on disait que c'était un apparte parisienne à cose du montent du loyer - , ou je passais souvent mes weekand avec Max. Max ... Penser à lui me fit monter mes larmes aux yeux. Elles se méllerrent à celles du ciel, teintant mon déséspoire de la tristesse de ce dernier.
   Je partis directement vers l'auto route. Je n'avais aucunement envie de croiser qui que se soit. Nouvel éclaire. J'axélaire sur l'asphalt mouillé. Que le temps s'accorde bien avec la journé. On ne voyait rien à cinque mètres devant, obligeant les conducteur à rouler lentement. J'adorais la pluie. Mais surtout comme ça, quand on a l'impression que c'est un voille formé de millier de minuscule goutelettes d'eau qui nous entoure de son humidité.
   Le portable vibra dans ma poche. Je ne lus pas le message tout de suite et attandi de croiser une aire d'auto route.
   Je lut dabord le message arrivé plutôt, il était écris en abrégé. Il ressemblait à peut près à ça :
" SLT frengin !
mman a 1vi t la ru pr ta fete de bi1 vnu. g 1 surpris pr toa.
Vaincent "
    Je plein ton prof de français mon fère , pensais-je.
   D'une manière plus coérente sa devait surment donner :
" Salut frangine !
maman a invité la rue pour ta fête de bienvenu. J'ai une surprise pour toi.
Vaincent "
   J'étais sur à 98% qu'il ne devait pas me dire que ma mère avait préparré une fête pour moi. 
   Je lut en suite le segond message :
   " Je t'aime "
   " Je t'aime aussi  petit frère" lui repondit-je.


Vos avis ? L'histoire, quand on ne lis que le début, on ne peut pas deviner la suite, que je métrais plus tard (quand je l'aurais fini quoi ^^)

Dernière modification par pinpin524 (Le 21-08-2012 à 00h09)

Bonjour tout le monde,
Je ne sais pas si mon texte correspond a ce chapitre mais...voila :

Cetait un soir, il faisait noir, jetais seule...et je relu ta lettre, des mots dorés, des mots gravés dans mon coeur, des mots de desespoir, de suicide, et damour, cest cet amour qui nous lie, cet amour si fort, cet amour qui fait que je pense a toi tous les ans,tous les mois,  toutes les semaines, tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes, toutes les secondes....puis brusquement , tout a basculé, je me suis retrouvé a desesperer, a errer sans fin....vois tu ......., croyais tu que je ne me releverais pas ? Que je laisserais les ombres matteindrent ? Et bien non je me suis relever, les ombres  mont suivies mais je me suis battu, acharné, et jai reussi a les repousser ..puis jai relu ta lettre, et petit a petit je me suis remise a penser a cet amour qui nous liaient autrefois ..jai decouvert que tu ne mavais pas oublié
, que javais toujours une place dans ton coeur ... A ce moment la , je me suis rendu compte que taimais , que je tavais pardonné, tous ce qui
 avaient brisé mon coeur autrefois cetait envolé et je connu a nouveau le sentiment de lamour .. Et je relu ta lettre, les plus beau mots de lunivers, ceux qu'une personne ne pouvait moffrir : je taime ....

Et un autre :
Je voulais te dire que tout est fini entre nous, qu il ny aura plus rien a part du vide , qu une partie de moi est dechiree en mille morceaux de cette separation,mais que tu ne me vaux pas, que tu merites mieux...en tecrivant cela je menffuie vers la foret , je fuis , je te fuis toi et tous les souvenirs qui vont avec... Je fuis malgre la pluie qui ruissèle sur mon visage, malgre les gouttes qui tombent  en cascade sur mon front, mais je fuis en pensant  a toi et a mon ancienne vie. J essayes de me forcer a oublier mais cest impossible, je ne toublierais jamais, que ce sois toi ou un autre....je voulais te dire addieu tel les vagues de la mer bercees par le vent , le vent qui souffle tellement fort que je grelottes depuis un bon moment, en maccrochant a la seule pensee qui me preocupe , toi...je te promet, je te le jure que je ne toublierais jamais....
Et toi, bel inconnu , m oublieras tu un jour? Je ne lespere pas. Petit a petit, les ombres de la foret recouvrait le ciel noir de fureur, les fougeres bougeaient avec ardeur .... Et les arbres...ils secouaient dans tous les sens leurs epines .... Je ne peux tecrire plus, je nai plus dencre, je voulais te dure que je ne toublierais jamais...adieu

Vos avis sont les bienvenus !