Lililola6 a écrit :
En 5° année j'ai écrit se poème:
MON PAPI
Ses au font de son lit douillet
Que je lui déposerait ses magnifique oeillet
Pourquois des oeillet ?Car elle me sont penser a lui
Lui si beau et gentil
Que j'aimais suivre pas à pas.
Lorsque que je reguarde ça tombe je me dis pourquois lui et pas moi?
La vie peut-être si injuste parfois!
Mais revient papi ! Revient de l'haut delà !
Reviens me caliner comme autre fois !
Au moin je peut me dire
Qu'un jour je serais près de toi
Et que se seront mes petits enfant qui vont le lire
Se poème que j'avais écrit pour toi.
trop émouvant quand je lit se poème je pense a tout les enfant qui chaque année perde quelqu'un et ses sa qui m'inspire le plus, l' d'une personne pour une autre ses vraiment beau comment trouver vous ce poème?
Larmes aux yeux malgrés les fautes !!! Ca me fait penser à la chienne de mes grands-parents, avec qui j'étais la plus proche de l'univers... Je m'arrête ici, j'ai les larmes aux yeux...
Lashinya : Ca donne envie ! Sinon, essaye de régulariser les vers (decasyllabes, octosyllabes, alexandrins...) et tu sera le nouvel écrivain du siècle !
Impressionnée par vos poèmes : serai-je à la hauteur ?
C'est l'histoire d'une famille anglaise de cinq filles, la famille Williams.
Joyce : 5 ans
Abby : 9 ans
Charlie : 13 ans
Quinn & Dylan : jumelles de 16 ans
La mère Wendy : 36 ans
Le père Stephen : 38 ans
Au salon de la petite maison familiale, on parlait encore et toujours de la « chose ». Cette chose dont personne n’est fière. La « honte » de la famille. Stephen tremblait, Wendy avait les yeux rouges. Mais désormais, rien ne changerait. Il fallait absolument partir. Reconnaître une chose pareil était vraiment difficile, lorsque pareil passé nous suivait.
« Etre 2, c’est pas toujours facile. Mais être 5, n’en parlons pas », se disais Abby, en regardant le plafond de sa chambre, et plus précisément, la vieille bande jaune accrochée au plafond qu’elle appelait « le jaune baveux ». (Ce nom venait d’une vieille histoire : Un jour, Mme Williams avait collé une de ses fameuses bandes jaunes dans le salon. Abby, qui n’avait que 3 ans à cette époque, regardait les mouches se coller dessus. Elle avait dit à sa mère « Maman, pour quoi tu mets une bande jaune avec de la bave sur le plafond ? ». Sa mère avait répondu « De la bave ? Mais ça ne colle pas ! ». Abby était revenu à la charge avec une de ses conclusions rapides « Bah si puisque les escargots ça colle, et papa m’a dit que c’était de la bave sur leur ventre ! ». Voilà comment les bandelettes anti-mouches étaient devenues « les jaunes baveux »). Abby décida de partir en excursion chasser les insectes. Elle s’arma de vieilles baskets, d’un débardeur et d’un short que l’on pouvait qualifier de détritus plutôt que de vêtements, et pris un bocal en verre avec un couvercle troué pour pouvoir attraper les insectes et les observer sans les faire agoniser. Abby Williams, 9 ans, amoureuse de la nature, 4° d’une famille de 5 enfants.
Elle sauta une à une les marches du perron, traversa l’allée de palmiers et d’oliviers pour aller sonner au numéro 136.
Au salon, Dylan et Quinn essayées désespérément d’occuper leur petite sœur, Joyce.
-On va faire un tour au parc ?
-Nan.
-On va se balader sur la plage ?
-Nan.
-On va… Je sais ! On va embêter Charlie ?
-Nan.
-Mais qu’est-ce que tu veux faire alors ?
-La cuisine !!!!!!!!!!!!!!!!
Quinn et Dylan n’en pouvaient plus. Faire la cuisine ? C’est l’activité que Joyce demandait chaque jour ! Elle ne changerait donc jamais ?
-Non, s’énerva Dylan. Moi, j’en ai ras le bol ! A force de cuisiner, y’a plus de tablier parce que la machine a lavé a encore déclaré forfait. Et chaque jour, on entasse un gâteau de plus dans le réfrigérateur !
Dylan adorait sa petite sœur, mais pas dans ses moment-là.
-Ok, apparemment vous voulez aller embêter Charlie ? C’est d’accord !
-Yessssssssssssss ! (Enfin une activité que Joyce pouvait faire seule).
-Maintenant, va te déguiser en espionne, et commence à l’espionner. Elle est sur le balcon. Il ne faut pas qu’on y aille à trois en même temps, expliqua malicieusement Quinn.
-Prem’s ! cria Joyce.
La liste qu’avaient réalisée Quinn et Dylan afin d’occuper Joyce (ce qui leur prit deux bonnes heures) faisait effet. En tout cas la méthode numéro 1 marchait.
Joyce alla se déguiser dans sa chambre ce qui leur laissait au moins une heure de temps libre.
Charlie, sur le balcon, admirait son cookie fondre petit à petit au soleil. « Les pépites se décompose car elles ont peur de moi » pensa-t-elle. C’était plutôt le soleil qui les intimidait. Elle se leva avec l’intention d’aller se verser un verre « d’eau qui pique », lorsqu’elle croisa Joyce.
-Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu ne devais pas jouer avec Quinn et Dylan ? s’étonna-t-elle, sans se méfier de sa petite sœur sans défense.
-Elles m’ont dits de t’espionner !
Joyce Williams, 5 ans, dernière d’une famille de 5 enfants, capricieuse, « trop mimi quand elle veut bien » d’après ses sœurs.
Sous le balcon se trouvait Quinn, allongé sur un transat, les jambes au soleil et le buste au soleil, mais la tête à l’ombre. Lorsqu’elle entendit son nom, elle se redressa, se mis la main en visière, recula afin de mieux voir qui parlait d’elle et de sa jumelle, mais tomba dans la piscine. Elle cria, remonta en râlant que sa chemise vichy, qu’elle avait noué au-dessus du nombril était neuve, que son short en jean délavé craignait l’eau que gnagnagni et gnagnagna… Elle finit par se rendre compte que la situation était comique, et rigola tellement qu’elle tomba dans l’eau. Quinn Williams, jumelle de Dylan Williams, 16 ans, première avec sa sœur d’une famille de 5 enfants, très coquette mais adorable, très lunatique. Dylan, en voulant l’aider tomba elle aussi, mais cela ne la déranger pas plus que ça car elle était en maillot. Dylan Williams, jumelle de Quinn Williams, 16 ans, première avec sa sœur d’une famille de 5 enfants, très coquette mais adorable, très lunatique. Bref, cette petite séance plongeon imprévu termina en baignade familiale, tout le monde dans la grande piscine tordu de La Rose des Vents (seul Abby manquait à l’appel). Charlie et Joyce oublièrent leur rencontre plus ou moins imprévu sur le balcon.
Charlie remonta le grand tourbillon (baptisé par Joyce), et se posa une question : « Qui oserait descendre en premier dans la cave du trou noir ? ». Elle hésita, descendit les marche une à une, mais renonça à l’avant dernière marche. « Plus tard », c’est ce qu’elle se disait à chaque fois. Encore, atteindre cette marche était un record qu’elle s’empresserai de raconter à ses sœurs. Elle monta au grenier où elle trouva son père, debout sur une échelle, qui essayait de remettre une ampoule sur une lampe datant de la préhistoire.
-Elle tombera comme les autres, rachetaient plutôt une lampe.
-Trop chère. Tournevis.
Elle lui tendit.
-Vous faîtes une tel consommation d’ampoules que ça vous reviendrais moins chère d’acheter une nouvelle lampe.
Elle abandonna, et parti à la recherche d’Abby. Cela faisait deux heures qu’elle était partie, et il faisait désormais presque nuit. La première chose à laquelle elle pensa, c’est d’aller au numéro 136, la voisine-meilleure-amie-qui-fait-plein-de-choses-chouettes-avec-moi, alias Victoria. Victoria et Abby se connaissaient depuis la maternelle. Mme Dotchelly, mère de Victoria, expliqua que les filles étaient allées se balader dans les falaises, mais que Victoria était rentrée depuis un bon moment. Charlie laissa la panique s’emparer d’elle. Elle remercia Mme Dotchelly, puis parti à la recherche de sa sœur dans les talus. En pleine nuit, aucune de ses sœurs n’auraient osé faire ça seule. Charlie Williams, 12 ans, troisième d’une famille de 5 enfants, intrépide et courageuse. Elle finit par retrouver sa sœur, qui gambadait sur le chemin du retour.
-T’aurais pas pu prévenir que tu partais, nan ?! s’énerva Charlie.
-Rhô, ça va, j’étais avec Vic, mais elle avait mal à la tête et a voulu rentrer. Regarde, j’ai trouvé un compagnon pour Prune ! Il s’appelle Pomme.
Charlie resta calme, très calme, très très calme, si on peut appeler calme s’enfuir en courant à la vue d’un serpent. Même magnifique comme celui-là, un serpent reste un serpent.
Abby retourna dans la maison, posa Pomme avec Prune dans son Vivarium personnel, qui devait rester inconnu au près des parents.
Elle redescendit dans le salon, où elle trouva ses sœurs, collées à la porte de la cuisine, entassé les unes sur les autres pour pouvoir écouté la discussion qu’avaient leurs parents.
-Ils parlent de la chose je suppose ?
-Chuut ! répondirent Joyce et Quinn.
Abby s’agenouilla auprès de ses sœurs.
-Et alors ? Vous avez enfin trouvez ce que c’est ?
-Nan… répondirent Joyce et Quinn.
Abby soupira, puis s’affala sur le canapé. De là, elle pouvait surveiller tout ce qui se passait dehors.
Boom !!!
-Ah, merde !!! La machine à laver a encore pétait les plombs !
Mr Williams sortit de la cuisine, et trouva ses filles écroulées par terre. Seul Abby avait eu le reflex de se redresser.
-Un gros mot, un euro, renchérit Joyce, en tendant une petite main poisseuse.
Stephen Williams était toujours grossier lorsqu’il s’agissait de la machine à laver, autrement dit la terreur.
-On est en train de jouer à… à… à docteur dingue !
Abby improvisa un mensonge qui parut étonné son père.
Les parents allèrent voir ce qui se passait encore dans la buanderie avec Madame Machine, et Abby en profita pour s’éclipser.
-Tsssssk ! Tsssssk ! Tsssssk ! Abby appela Mûre, la « mulote » (mulot version femelle en langage Abby-ien) et Mars le mulot. Ils comprirent que la voie était libre et se faufilèrent devant Abby. Elle leur donna des miettes.
-Miettes par ci, miettes par-là, suivez-moi tralala la… fredonnez Abby.
Un rire éclata derrière les buissons. Abby hurla de peur. Joyce apparut en lui criant :
-Futur chanteuse ! Bravo ! Tu pourras chanter sur les chaînes pour enfants ! Miettes par ci, miettes par-là, suivez-moi tralala lalalalala !!! imita-t-elle avec une voix d’opéra.
Abby était devenue tellement écarlate qu’on la voyait se transformer en tomates même dans le noir. Frustrée, elle rétorqua :
-Et toi tu peux oublier ta carrière d’espionne, petite peste !!! Si tu rigole toutes les deux secondes, tu vas te faire repérer en moins de deux. Et puis tu dis « chaînes pour enfants », mais tu regardes toujours je te signale ! Crapaud !
-La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe.
Elle repartie en imitant un oiseau qui bat des ailes. Joyce adorait ressortir des citations qu’elle avait déjà entendu, même s’il n’y avait aucun rapport avec la discussion. Mûre et Mars était repartie, ils avaient étés effrayés eux aussi par ce crapaud-colombe de Joyce. Abby se dit que ce n’était pas la peine de rappeler Mûre et Mars, qu’ils ne reviendraient pas à cause de son enquiquinante-petite-sœur. Elle décida d’aller prendre un bain avant de passer à table.
L’enquiquinante-petite-sœur en question était déjà monté se doucher, car Wendy n’arrêtait pas de lui répétait. Lorsqu’elle atteignit la salle de bain, Abby se retrouva dernière de la file d’attente habituelle pour pouvoir accéder à la salle de bain. Quinn était sur son portable, Dylan lisait un magazine, Charlie était encore collé à son livre « Bienvenue au pays des enquiquineuses » (livre qu’il fallait A TOUT PRIX passé à l’enquiquinante-petite-sœur-Joyce-qui-ne-sait-pas-lire), son père essayait de réparer la-machine-à-lavé-qui-fait-des-siennes, et sa mère faisait la cuisine. Abby retourna dans sa chambre, elle n’avait pas de places à perdre dans la file d’attente. Elle alluma son ordinateur pour consulter ses messages. Encore une de ces menaces. Elle n’y prêta pas la moindre attention, et cliqua vite sur supprimé. Qui était cette personne qui harcelait la famille ? Et quel était cette chose dont parlaient sans cesse ses parents ?
A terminer plus tard. Des avis ? et pour les demandeurs de la suite, Ma fiche profil !
Dernière modification par LaTitEBlonDEdu06 (Le 13-07-2012 à 10h05)